Trailers Photos Casting Thriller Synopsis La prochaine fois je viserai le coeur Pendant plusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de lâOise se retrouvent plongĂ©s dans lâangoisse et la terreur un maniaque sĂ©vit prenant pour cibles des jeunes femmes. AprĂšs avoir tentĂ© dâen renverser plusieurs au volant de sa voiture, il finit par blesser et tuer des auto-stoppeuses choisies au hasard. Lâhomme est partout et nulle part, Ă©chappant aux piĂšges des enquĂȘteurs et aux barrages. Il en rĂ©chappe dâautant plus facilement quâil est en rĂ©alitĂ© un jeune et timide gendarme qui mĂšne une vie banale et sans histoires au sein de sa brigade. Gendarme modĂšle, il est chargĂ© dâenquĂȘter sur ses propres crimes jusquâĂ ce que les cartes de son pĂ©riple meurtrier lui Ă©chappent. derniĂšres bandes-annonces La prochaine fois je viserai le coeur Voir toutes les bandes annonces de La prochaine fois je viserai le coeur derniĂšres photos La prochaine fois je viserai le coeur Voir toutes les photos de La prochaine fois je viserai le coeur
Synopsis Ce film est inspiré d'une histoire vraie, qui s'est déroulée durant la grande guerre, le soir de Noël 1914, en de multiples endroits du front. Lorsque la guerre surgit au creux de l'été de 1914, elle surprend et emporte dans son tourbillon des millions d'hommes. Et puis arrive Noël, avec sa neige et son cortÚge de cadeaux des
Unfilm de CĂ©dric Anger avec Guillaume Canet et Ana Girardot. Synopsis : Pendant plusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de lâOise se retrouvent plongĂ©s dans lâangoisse et la terreur: un maniaque sĂ©vit prenant pour cibles des jeunes femmes. AprĂšs avoir tentĂ© dâen renverser plusieurs au
français arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hébreu italien japonais néerlandais polonais portugais roumain russe suédois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liés à votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liés à votre recherche Traduction - dopée à l'IA Zut ! Nous n'avons pas pu récupérer les informations. Nous travaillons pour résoudre ce problÚme au plus vite. La prochaine fois je viserai le coeur 2014 Traduction de voix et de textes plus longs La prochaine fois je viserai le coeur 2014 La prochaine fois je viserai le coeur 2014 La prochaine fois je viserai le coeur 2014 HDRip/2100MB Run All Night 2015 HDRip/2100MB HD La prochaine fois je viserai le coeur 2014 BDRip + FUll HD Aucun résultat pour cette recherche. Résultats 3859063. Exacts 22. Temps écoulé 1037 ms.
Lagendarmerie de lâOise enquĂȘte sur une sĂ©rie dâagressions et de meurtres perpĂ©trĂ©s sur des jeunes femmes. Parmi les enquĂȘteurs, un jeune gendarme
SĂ»r quâil convient de saluer le travail de Guillaume Canet, de louer sa volontĂ© dâexplorer dâautres horizons et de gommer les tics et les trucs constituant dâordinaire son quotidien dâacteur. PubliĂ© 12 Novembre 2014 Ă 09h24 Temps de lecture 1 min DâĂ©loges, on ne tarira donc pas sur le Canet nouveau, atone, adepte dâun jeu intĂ©riorisĂ© du plus bel effet, attentif Ă se marbrer le visage dâun masque glacial de samouraĂŻ sadomaso. Sans doute peut-on y dĂ©celer ces zones dâombre, ces gouffres au bord desquels vacilla lâacteur, lâan dernier, alors que le public boudait son Blood Ties. Dans le rĂŽle du tueur de lâOise qui terrorisait la rĂ©gion entre 1978 et 1979 et se terrait sous les traits dâun gendarme modĂšle, lâacteur-rĂ©alisateur surprend et ne prĂȘte pas Ă rire. Au-delĂ de cette aube nouvelle, La prochaine fois, je viserai le cĆur nâen constitue pas moins un film pataud, glauque et dĂ©plaisant, harnachĂ© Ă un ramassis de clichĂ©s dignes dâune sĂ©rie tĂ©lĂ© de basse-fosse. Ă quoi bon se vicier lâesprit avec un tueur solitaire, Ă©jaculateur prĂ©coce, qui sâinflige des sĂ©vices corporels, vomit la vermine et vĂ©nĂšre lâinnocence telle que lâentend David Hamilton !
Laprochaine fois je viserai le coeur Cédric Anger Tags : canet · anger · serial killer · Ce faits divers avait fait l'objet, dans Faites entrer l'accusé, d'un numéro absolument passionnant dans lequel l'émisssion suivait la trace du tueur chronologiquement permettant un suspense hallucinant au fur et à mesure que l'identité du gendarme se confirmait.
La Prochaine fois je viserai le coeur News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires note moyenne 3,2 3576 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur La Prochaine fois je viserai le coeur ? 409 critiques spectateurs 5 11 critiques 4 125 critiques 3 166 critiques 2 66 critiques 1 29 critiques 0 12 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s "La prochaine fois je viserai le cĆur", film tirĂ© d'un fait rĂ©el pour le moins terrible et incroyable, est bien Ă l'image et Ă la hauteur de l'horreur de cette histoire, complĂštement hors du commun !En dĂ©passant le simple polar qu'il n'est pas du tout, CĂ©dric Anger fait beaucoup plus que de relater et de mettre en scĂšnes les Ă©vĂ©nements, les faits et gestes du "Tueur fou de l'Oise" ou l'affaire Alain Lamare, car il va bien plus loin en nous plongeant littĂ©ralement dans la peau et la personnalitĂ© de ce personnage ambigu, torturĂ©, nĂ©vrosĂ© et j'en passe tellement son psychisme semble complexe et inquiĂ©tant...Toujours rĂ©servĂ© Ă propos de Guillaume Canet, trop lisse et inexpressif Ă mon avis, il est alors lĂ , l'Acteur idĂ©al au point de ne voir Ă travers son physique, son visage impassible, qu'un dangereux individu oĂč toute Ă©motion et sensation semble gommĂ©e le plus souvent de son regard... En mĂȘme temps de part ce jeu glacĂ© et distant, le mal ĂȘtre, les affres et les obsessions de Franck traduisent une peur et un malaise gĂ©nĂ©ral qui envahissent entiĂšrement le film, qui nous enveloppent dĂšs sa prĂ©sence Ă l'Ă©cran en donnant une tension et mĂȘme une angoisse de plus en plus prĂ©gnante, comme si celle-ci Ă©manait de tous les pores de sa peau !Que ce soit chez lui dans cet univers sordide, vĂ©ritable PC de guerre, avec ses conditions de vie et ces supplices qu'il s'impose, ou dans son travail oĂč il semble ĂȘtre un Ă©lĂ©ment modĂšle, dangereux, inattendu et implacable pour ses collĂšgues ainsi que lors de ses accĂšs de folie qui dĂ©passent l'imagination, ce gendarme hors norme nous tĂ©tanise !Et ceci malgrĂ© son autre facette, lorsqu'il est en communion avec la nature dans laquelle il devient tout Ă coup diffĂ©rent et sensible... Ce film dĂ©gage donc une atmosphĂšre trouble, pesante et noire tout au long de sa durĂ©e par le hĂ©ros lui-mĂȘme bien sĂ»r, et aussi par le traitement des images trĂšs grises dans une ville et une campagne d'une tristesse infinie, ainsi que par les personnages secondaires trĂšs importants pour le dĂ©roulement des faits. Ceux-ci gravitent autour de Franck, en tant que chef, collĂšgues, et il y a aussi et surtout cette jeune femme qui fait son mĂ©nage et avec qui il a une relation difficile, pleine d'envie et de dĂ©goĂ»t Ă la fois. Ă ce propos, l'actrice Ana Girardot rend cette fille Sophie qui croit Ă un amour possible, incroyablement et terriblement humaine et vulnĂ©rable, entiĂšrement sous l'emprise des griffes de ce psychopathe imprĂ©visible et manipulateur. Un film dur, trĂšs rĂ©aliste et Ăąpre que nous livre lĂ CĂ©dric Anger, un film qui fait froid dans le dos et dont on sort avec un sentiment d'effroi doublĂ© d'un questionnement sans rĂ©ponses ! Histoire tendue et particuliĂšrement glaçante dans ses meilleurs moments qui brosse remarquablement le portrait intime d'un gendarme / psychopathe aux pulsions criminelles et imprĂšvisibles! Tournage serrĂš et petit budget! Une histoire aux couleurs sombres, basĂše sur le fait divers authentique d'un tueur qui a sĂšvit dans l'Oise Ă la fin des annĂšes 70! Un avertissement dans la scĂšne d'ouverture nous stipule que nous sommes bel et bien dans une oeuvre de fiction! il a donc fallu imaginer certaines choses pour trouver des rĂšponses car on n'a pas vraiment d'explications sur les motivations du tueur aprĂšs la projection finie! Alain Lamare a ĂštĂš internĂš depuis dans un asile psychiatrique et reconnu non responsable de ses actes parce qu'on n'a jamais rĂšussi Ă comprendre qu'elle Ăštait la folie de cet homme qui parcourt les routes dĂšsertes du dĂšpartement de l'Oise en prenant des jeunes femmes pour cible! Dans un contre-emploi inattendu et plus vrai que vrai, Guillaume Canet est rĂšellement habitĂš par ce personnage fascinant et complexe! Au point que l'acteur, mĂšconnaissable, a vraiment quelque chose dans le visage avec ce regard vide que ça en devient flippant! il est dans le film tel qu'il est sur l'affiche troublant! D'ailleurs, il faudra compter en toute logique sur Canet pour ĂȘtre un outsider sĂšrieux dans la quĂȘte du CĂšsar du meilleur acteur 2015! De plus, les seconds rĂŽles sont trĂšs bien dirigĂšs et ont parfaitement rempli leurs fonctions premiĂšres, notamment Jean-Yves Berteloot et surtout la prometteuse Ana Girardot qui nous surprend par son jeu minimaliste! Sans oublier la mise en scĂšne virtuose de CĂšdric Anger qui vise au bon endroit oĂč panoramiques et plans sĂšquences, travellings et mouvements de camĂšra se disputent la premiĂšre place! Ce qui rend encore plus l'impact des images avec une musique malsaine et glauque Ă souhait, qui nous met bien dans l'ambiance du film! Globalement, "La prochaine fois je viserai le coeur" est donc d'un trĂšs bon niveau en atteignant pleinement son but! Une rĂšussite... Dans le genre du thriller / polar Ă la française, ce film est superbe et bĂ©nĂ©ficie d'une bonne mise Ă l'Ă©cran de cette terrible histoire vraie. L'histoire se dĂ©roulant dans le nord de la France dans la fin des annĂ©es 70, est prenante bĂ©nĂ©ficiant d'une trĂšs bonne reconstitution de ces annĂ©es-lĂ . On est happĂ© par le film mĂȘme si l'on sait plus ou moins comment ça va se terminer, mais presser de savoir si l'histoire se termine de la façon qu'on l'espĂšre. Le casting est trĂšs bon, bĂ©nĂ©ficiant d'excellentes interprĂ©tations des diffĂ©rents rĂŽles et dâun beau jeu d'acteurs avec Guillaume Canet surprenant, Ana Girardot superbe et convaincante, Jean-Yves Bertelloot, Patrick Azam. Le mĂ©trage aurait gagnĂ© Ă avoir une vraie bande son dans le style sombre duquel il nous est montrĂ© car on ne peut pas dire qu'elle y soit trĂšs prĂ©sente, et n'est pas de bon goĂ»t. Certaines scĂšnes peuvent choquer cependant mais cela dit le film est captivant, bouleversant, surprenant et mĂ©rite grandement d'ĂȘtre vu de par son histoire choc ainsi que sur la psychologie du note !! L'histoire est donc celle d'un tueur en sĂ©rie Ă kĂ©pi qui a sĂ©vi durant la fin des annĂ©es 1970. Sa qualitĂ© de gendarme Ă©tait pour lui le camouflage idĂ©al qui lui permettait de sĂ©vir en toute quiĂ©tude et sans Ă©veiller le moindre soupçon. Il profitait ainsi de ses moments libres pour traquer des jeunes filles, les renverser en voiture, ou encore les prendre en auto-stop, afin, parfois, de les achever Ă l'aide de son arme Ă feu. Manipulateur et sadique jusqu'au bout, il aimait narguer ses collĂšgues en leur envoyant des lettres anonymes en les avisant que "La prochaine fois, il visera le cĆur".CĂ©dric Anger adapte donc sur grand Ă©cran l'histoire d'Alain Lamare, plus connu sous le surnom du "Tueur de l'Oise" qui sĂ©vit durant les annĂ©es 1978 - 1979 et sema la panique dans tout le dĂ©partement. Franck sublimement interprĂ©tĂ© par Guillaume Canet est donc un traqueur torturĂ©. Un personnage complexe qu'on a parfois du mal Ă saisir. ObsĂ©dĂ© par sa volontĂ© de se purifier il s'inflige souvent des flagellations et autres lacĂ©rations, il cĂšde souvent Ă ses pulsions meurtriĂšres. Ce personnage froid et mĂ©thodique fait froid dans le dos. Il pousse mĂȘme le vice jusqu'Ă affirmer Ă ses collĂšgues qu'il va choper ce psychopathe et lui fera payer ses traque au tueur, et ce jeu au chat et Ă la souris atteint son apogĂ©e dans la cruautĂ© lorsque le gendarme rend visite Ă l'une de ses victimes hospitalisĂ©es et prend de ses nouvelles. Celle-ci totalement traumatisĂ©e Ă la vue de l'homme est dans l'incapacitĂ© de lui rĂ©pondre. Une autre scĂšne croustillante est celle du portrait-robot trĂšs rĂ©ussi et trĂšs ressemblant, qui ne dĂ©courage pas le gendarme. Plein d'aplomb, il fait du porte Ă porte, avec ce portrait lui ressemblant comme deux gouttes d'eau, afin de trouver des tĂ©moins quand on pense que cette scĂšne s'est rĂ©ellement dĂ©roulĂ©e ... Glaçant.[...]PortĂ© par un excellent Guillaume Canet, le film qui avait tout pour ĂȘtre excellent est au final trop mou pour nous convaincre rĂ©ellement. Rythme trop lent, personnages caricaturaux, ou encore bande-son horrible ces dĂ©fauts empĂȘchent le film d'ĂȘtre ce qu'il aurait dĂ» ĂȘtre un polar sombre et intrigant. Le cĂŽtĂ© glacial, dĂ©libĂ©rĂ©, et la lenteur gĂ©nĂ©rale du film mettent quelque peu le spectateur de cĂŽtĂ©. On assiste donc froidement Ă un enchainement de crimes, Ă un semblant d'amourette, tout en n'apprenant Ă la finale pas grand chose sur ce tueur ou sur l'enquĂȘte elle-mĂȘme. Et pour cause, le film est entiĂšrement tournĂ© du point de vue de ce psychopathe qui peine Ă exprimer quoi que ce soit, ne serait-ce mĂȘme qu'un sourire. L'interprĂ©tation de Canet dans ce sens est donc impeccable, et il nous fait tenir jusqu'au bout afin de savoir enfin ce qui va lui arriver, mais on est un peu trop mis Ă l'Ă©cart pour s'impliquer rĂ©ellement. C'est bon mais froid, bien trop froid... Remarquable performance de Guillaume Canet, dans ce thriller froid, lourd, aux tons neutres, presque sales, dĂ©crivant parfaitement le quotidien banal d'un tueur sans conscience, manipulateur et finalement pathĂ©tique. CĂ©dric Anger a su maĂźtriser habilement une atmosphĂšre oppressante, lentement mortifĂšre qui laisse constamment planer la menace d'un danger omniprĂ©sent. Pas de course-poursuites, pas d'explosions, pas de dialogues percutants. Il faut s'immerger dans le tempo particulier du film. Le casting est remarquablement choisi, un bon point pour Ana Girardot et Jean-Yves Bertheloot. Film plat, ambiance glaciale visuellement mais aucunement dans la psychologie. Facile, trop facile, voire vide. Il y avait pourtant matiĂšre Ă faire ! InspirĂ© d'un fait divers, La Prochaine fois je viserai le cĆur est un thriller qui retrace l'affaire Alain Lamare, un gendarme qui sĂ©vissait dans les annĂ©es 70 dans l'Oise. On peut tout simplement, applaudir la performance de Guillaume Canet qui s'avĂšre exemplaire dans la peau de ce gendarme psychopathe. Il impressionne dĂšs les premiĂšres minutes, on est dĂ©stabiliser de voir ce personnage glaçant en faisant des choses atroces aux jeunes filles croisant dans la rue. Un sentiment de malaise est prĂ©sent. Il est vrai, que le rĂ©cit est glauque mais cela nâempĂȘche pas que le spectateur reste embarquĂ© dans cette affaire dĂ©rangeante. L'atmosphĂšre est trĂšs sombre, voir Ă©touffante au plus possible. C'est totalement maĂźtrisĂ© et avec des dĂ©cors glacials qui retranscrit bien les annĂ©es 70. La mise scĂšne est quand Ă elle, brillante. Tous les plans sont excellents, bien cadrĂ©s et bien tournĂ©s. Cependant, la bande son est parfois intĂ©ressante mais cette derniĂšre reste passable. Les seconds rĂŽles sont trĂšs convaincants avec Ana Girardot qui est efficace, et aussi Jean-Yves Berteloot, sobre mais satisfaisant. NĂ©anmoins, l'oeuvre de CĂ©dric Anger manque un peu de rythme dans son ensemble. Pour finir, La Prochaine fois je viserai le cĆur est un thriller inquiĂ©tant, troublant mais vraiment captivant dans lequel Guillaume Canet est l'atout majeur de cette production française. Du trĂšs bon cinĂ©ma !! "La Prochaine fois je viserai le cĆur" pourrait ĂȘtre un Ă©pisode du "Gendarme" qui aurait trĂšs mal tournĂ© et qui s'intitulerait "Le Gendarme devient sociopathe et tue des midinettes, tout en menant l'enquĂȘte"... Non, il serait bĂȘte de cantonner ce film Ă cette petite anecdote rigolote et sarcastique entiĂšrement de moi... Ce film, inspirĂ© d'un fait divers Ă©tonnant qui eut lieu durant la fin des annĂ©es 70, lors duquel un gendarme assassinait des jeunes fille et menait lui-mĂȘme l'enquĂȘte, avait un cĂŽtĂ© vintage et original qui me plaisait pas mal. L'introduction - qui prĂ©cĂšde l'affichage du titre sur l'Ă©cran - est assez bien faite et permet d'entrer dans le vif du sujet. CĂ©dric Anger, le rĂ©alisateur, a choisi de raconter les faits Ă partir du point de vue du gendarme-tueur. Enfin, l'a-t-il choisi ? N'Ă©tait-ce pas sa seule option ? Ce faisant, la tension est malheureusement nulle. Montrer des Ă©vĂšnements du point de vue d'un tueur peut ĂȘtre lorsque le film s'y prĂȘte une idĂ©e brillante, mais ici, ça ne fait qu'attĂ©nuer la tension... La bande-annonce promettait un film tenace et prenant, troublant aussi, mais il s'avĂšre malheureusement plat, vain, ennuyeux. Certaines scĂšnes ont mĂȘme quelque chose de grotesque, tant elles sont dĂ©sinvoltes et Ă©loignĂ©es de l'intrigue. Comme par exemple lorsque le personnage incarnĂ© par Guillaume Canet s'auto-mutile ou se fait subir un entrainement physique extrĂȘme pourquoi ?!... Du coup, il nous est difficile en tant que spectateur de croire Ă tout cela, de compatir ou de prendre parti ne serait-ce que pour un personnage du fait de ce manque de nuance, de ce pessimisme jusqu'au-boutiste. Le film patine. Et la photo, trop grisĂątre, trop terne, n'arrange rien... Et comme si ça ne suffisait pas, la mise en scĂšne de CĂ©dric Anger, pleine de travellings-avants aussi impromptus qu'incongrus, est vraiment ratĂ©e. Seul Guillaume Canet, froid, glacĂ© et glaçant !, tire son Ă©pingle du jeu, et tient peut-ĂȘtre son meilleur rĂŽle ou du moins, celui qui lui convient le mieux. Le mercredi 8 octobre, nous Ă©tions prĂ©sent Ă lâavant-premiĂšre niçoise de La prochaine fois je viserais le cĆur, en prĂ©sence de Guillaume Canet et CĂ©dric Anger, le rĂ©alisateur. Les deux hommes ont tenu un dĂ©bat avec les spectateurs presque une heure, chose trĂšs rare pour ĂȘtre notĂ©e, dans une ambiance conviviale malgrĂ© la salle pleine Ă craquer. avec une rĂ©elle Sur sa lancĂ©e, Anger continue Ă Ă©toffer sa filmographie policiĂšre. Le scĂ©nariste-rĂ©alisateur livre un polar sombre Ă la rĂ©alisation classique et soignĂ©e. Le film est inspirĂ© dâune enquĂȘte policiĂšre ayant fait grand bruit en 1979, celle du tueur de lâOise. Câest le deuxiĂšme rĂŽle de tueur pour Canet cette annĂ©e, aprĂšs Lâhomme quâon aimait lâhiver 1978, Frank Guillaume Canet qui incarne, sous ce pseudonyme Alain Lamare est gendarme. Le jeune homme timide et rempli de toc frĂ©quente sa jeune femme de chambre, Sophie Ana Girardot, qui tombe Ă©perdument amoureuse. Le gendarme mĂšne lâenquĂȘte sur un tueur en sĂ©rie qui assassine des auto-stoppeuses. Comme nous le savons, le gendarme et le tueur ne font quâ Canet, rĂ©pondant aux questions du public, avoue avoir Ă©tĂ© fascinĂ© par le personnage et avoir pris un grand plaisir Ă lâinterprĂ©ter, notamment car le caractĂšre schizophrĂšne de Frank lui a permis de jouer tout lâĂ©ventail des sentiments. Il prend le temps dâexpliquer la difficultĂ© dâincarner un tueur encore vivant dont les familles des victimes vivent encore le drame comme une plaie ouverte. Câest cette ambiguĂŻtĂ© que CĂ©dric Anger a dĂ©cidĂ© de mettre en scĂšne. Frank est Ă la fois un monstre et la victime de sa propre maladie mentale. AprĂšs son arrestation, Alain Lamare avait Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© irresponsable de ses actes. Il est dĂ©tenu en hĂŽpital psychiatrique depuis lors. Ce qui revenait souvent dans les questions est rĂ©vĂ©lateur de lâesprit du film Nâavez-vous pas eu peur de rendre lâassassin attendrissant ? » La prochaine fois je viserais le cĆur prend le parti de ne pas suivre lâenquĂȘte de la police judiciaire mais prend celui dâĂ©pouser le point de vue du gendarme, au plus prĂšs de sa folie. Le film sâouvre et se ferme sur une reproduction dâune Ćuvre de David Hamilton qui siĂ©geait sur le mur de lâappartement de Lamare, le signe de son obsession pour les jeunes filles. Cette jeune femme, objet de ses fantasmes, le juge, tĂ©moin de sa dĂ©crĂ©pitude. Lâhomme, Ă qui lâon a refusĂ© toutes les demandes de promotion vers des unitĂ©s dâĂ©lites, est un frustrĂ© en mal de virilitĂ©. Il vit comme une humiliation les refus de sa hiĂ©rarchie. Lamare dĂ©clara quâil avait commis ses meurtres pour redorer le blason de la gendarmerie ».Grandement aidĂ© par la musique angoissante de GrĂ©goire Hetzel sonnant au rythme des battements de cĆur de Frank, la rĂ©alisation soignĂ©e dâAnger rĂ©ussit Ă tenir en haleine le spectateur pourtant au courant du dĂ©nouement. Canet est tout simplement Ă©blouissant de vraisemblance. Il interprĂšte la folie de Frank avec justesse. Tour Ă tour sont mis en scĂšne les troubles obsessionnels convulsifs du gendarme, sa maniaquerie et ses coups de sang injustifiĂ©s. Ana Girardot est terriblement Ă©mouvante, pauvre victime de cette homme qui devient de plus en plus exĂ©crable. Dur, rigide et frigide dans sa vie privĂ©e, rigolard et franchouillard en patrouille, il se met Ă pleurer lorsquâil tire sur ses victimes. On en revient aux explications de Canet et Anger, La prochaine fois je viserais juste rend compte de la folie dâun homme dont personne ne soupçonnait les envies meurtriĂšres et qui trompa longtemps jusquâĂ ses collĂšgues de travail. Au point de pouvoir aller prĂ©senter dans le quartier des victimes, un portrait robot de lâagresseur diablement ressemblant sans que personne ne sâen rende compte. Pour rendre encore plus forte cette impression de folie lancinante, Anger nâhĂ©site pas Ă le mettre aussi parfois Ă son avantage. Cet assassin, ce meurtrier, ce sociopathe passe certaines nuits Ă la belle Ă©toile pour observer la voĂ»te cĂ©leste et le ballet des cerfs venant sâabreuver dans les douves dâun vieux chĂąteau. Sentant son arrestation proche, il confie la forĂȘt Ă son petit frĂšre qui doit la des procĂšs-verbaux de lâenquĂȘte, des tĂ©moignages de son entourage et de ses collĂšgues, la majoritĂ© des moments Ă©voquĂ©s dans le film sont vĂ©ridiques. La justesse du jeu dâacteur de Guillaume Canet donne au personnage de Frank de la densitĂ© et de la complexitĂ©. Anger nous offre un film Ă la beautĂ© glaçante. On est loin des tueurs dĂ©nuĂ©s de passions humaines des slashers amĂ©ricains et des polars français sâorientant autour de la traque hĂ©roĂŻque de tueurs impitoyables. La prise en compte de lâhumanitĂ© dâAlain Lamare dans ce quâelle a de plus glauque rend le film encore plus fort et le personnage plus lire nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot Je n'ai pas aimĂ© le dernier film de Guillaume suspense on sait dĂ©jĂ qu'il y joue un sous officier de gendarmerie, tueur en sĂ©rieAucune empathie le rĂ©alisateur CĂ©dric Anger tourne le dos au psychologisme et ne cherche pas Ă expliquer les actes de son hĂ©rosAucun dĂ©goĂ»t mĂȘme la froideur avec laquelle Canet/Lamare commet ses meurtres maintient le spectateur Ă distance Le deuxiĂšme long-mĂ©trage de CĂ©dric Anger est un polar de bonne facture, assez Ă©loignĂ© des films du genre. "La Prochaine fois je viserai le cĆur" vaut surtout pour son personnage principal, complexe et passionnant. On se demande d'abord si le tueur de l'Oise n'est pas schizophrĂšne, un doute longtemps maintenu par Anger, avant que ce dernier n'en fasse un personnage uniquement manipulateur. Si la rĂ©vĂ©lation peut ĂȘtre sur le coup dĂ©cevante car elle empĂȘche un trouble qui aurait pu ĂȘtre vertigineux, Ă savoir le flic qui irait jusqu'Ă s'arrĂȘter lui-mĂȘme, elle n'efface pas le fait que Franck magistral Guillaume Canet reste parfois insondable de par ses contradictions hygiĂšne, intimitĂ©, elles-mĂȘme en opposition avec une certaine cohĂ©rence nervositĂ© dans ses gestes et son langage. Et si le film est quelque peu terni par des lourdeurs de mise en scĂšne, que ce soit la caractĂ©risation caricaturale de certains personnages ou l'utilisation trop marquĂ©e de la musique, il reste singulier, bien rythmĂ© et offre quelques images malades qui, Ă dĂ©faut d'ĂȘtre originales, restent perturbantes et surtout trop peu prĂ©sentes dans le cinĂ©ma français. Un bon polar qui vaut surtout par l'interprĂ©tation Ă©poustouflante de Guillaume Canet, de tous les plans, clairement dans le meilleur rĂŽle de sa carriĂšre. Si le film souffre d'un certain manque de rythme, le personnage de Canet n'en reste pas moins fascinant et insaisissable jusqu'Ă la fin. Super sujet pour un traitement trĂšs est glauque et va dans le mĂȘme sens la musiqueles dĂ©cors, la mĂ©tĂ©o. A force de noirceur on s'ennuie trĂšs viteet on regrette un bon Faites entrer l'accusĂ© du dimanche assure, tout en intĂ©rioritĂ©, mais hĂ©las ça ne suffit pas. L'Oise venait Ă peine de sortir de l'angoisse nĂ©e des mĂ©faits du "Tueur de l'ombre" Marcel Barbeault - sa traque dura 7 ans de 1969 Ă 1976 - que dĂ©butait une nouvelle affaire de tueur en sĂ©rie, celle du "Tueur fou de l'Oise" une petite annĂ©e durant. de mai 1978 Ă avril 1979. Aucun suspens - dĂšs l'affiche - avec "La Prochaine fois, je viserai le coeur", 3e "long" de CĂ©dric Anger, on sait Ă quoi s'en tenir quant Ă l'identitĂ© et la qualitĂ© de l'assassin un seul homicide rĂ©ussi, et cinq tentatives Alain Lamare rebaptisĂ©, par nĂ©cessitĂ©, Franck Neuhart, un gendarme appartenant Ă une brigade du PSIG Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie, participe avec un beau zĂšle - masochiste aux investigations concernant ses propres crimes ! Ce qui intĂ©resse le scĂ©nariste adaptant un rĂ©cit romancĂ© de l'affaire, "Un Assassin au-dessus de tout soupçon" et rĂ©alisateur, c'est l'approche psychologique "dans la tĂȘte du psychopathe" Lamare sera reconnu irresponsable, car atteint d'une forme rare de schizophrĂ©nie - ordonnance de non-lieu en 1983 - et est toujours internĂ©. Cette ambition n'est qu'incomplĂštement accomplie dans ce film frisant les 2 heures - il s'agit d'une esquisse de "profil", par la prĂ©sentation de l'environnement familial, sentimental et professionnel de l'intĂ©ressĂ©, principalement. On regrettera que le passage Ă l'acte soit plus montrĂ© longuement, et sur un mode monotone que dĂ©montrĂ©..... Tout repose sur Guillaume Canet, la quarantaine, devant incarner un jeune psychotique de...22/23 ans.... Encore un casting irrĂ©aliste, donc. De plus, GC n'est pas plus convaincant, nonobstant l'Ăąge du personnage, en Lamare/Neuhart qu'en Agnelet chez TĂ©chinĂ©. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Laprochaine fois je viserai le coeur. Infos TV. DVD Bluray. Film ( film policier) de 1h51min de 2014. Franck est un jeune gendarme timide et effacĂ© qui travaille dans l'Oise. C'est en fait un psychopathe qui assassine des jeunes femmes Date de sortie 12 novembre 2014 RĂ©alisĂ© par CĂ©dric Anger Avec Guillaume Canet DurĂ©e 1 h 51 min Pays de production France L'avis du ELLE PubliĂ© le 13 nov. 2014 Ă 12h35 Le beau titre du troisiĂšme long-mĂ©trage de CĂ©dric Anger est extrait d'une des nombreuses lettres qu'un maniaque envoyait Ă la gendarmerie de l'Oise, dĂ©partement oĂč il agressait et tuait des jeunes filles au hasard de ses rencontres. InspirĂ© de ce fait divers, le film, resserrĂ© au plus prĂšs de celui qu'on appelait en 1979 le tueur de l'Oise », ne cherche jamais Ă expliquer les raisons de ses gestes fous. Ce phobique, obsĂ©dĂ© par la propretĂ©, ne cesse de s'infliger des sĂ©vices et vit dans une piĂšce au fond de son appartement, jonchĂ©e de dĂ©tritus, de couteaux et de carabines. Il est incarnĂ© par un Guillaume Canet troublant et particuliĂšrement inquiĂ©tant dans ce double jeu. Un film d'hommes habitĂ© par les femmes, ou plutĂŽt par l'idĂ©e folle de ce que reprĂ©sente une femme au point de les cibler sans cĆur et sans raison. Florence Ben Sadoun RĂ©sumĂ© Avec Pendant plusieurs mois, entre 1978 et 1979, les habitants de lâOise se retrouvent plongĂ©s dans lâangoisse et la terreur un maniaque sĂ©vit prenant pour cibles des jeunes femmes. AprĂšs avoir tentĂ© dâen renverser plusieurs au volant de sa voiture, il finit par blesser et tuer des auto-stoppeuses choisies au hasard. Lâhomme est partout et nulle part, Ă©chappant aux piĂšges des enquĂȘteurs et aux barrages. Il en rĂ©chappe dâautant plus facilement quâil est en rĂ©alitĂ© un jeune et timide gendarme qui mĂšne une vie banale et sans histoires au sein de sa brigade. Gendarme modĂšle, il est chargĂ© dâenquĂȘter sur ses propres crimes jusquâĂ ce que les cartes de son pĂ©riple meurtrier lui du livre Un assassin au-dessus de tout soupçon d'Yvan Stefanovitch Autres infos Distributeur Mars Distribution Laprochaine fois je viserai le coeur : dĂ©couvrez toute les actualitĂ©s avec TĂ©lĂ©-Loisirs . Aller au contenu. Menu. TĂ©lĂ©-Loisirs. Avatar. Me connecter. Mon compte Mes alertes Mes paramĂštres AprĂšs avoir tentĂ© dĂąâŹâąen renverser plusieurs au volant de sa voiture, un maniaque finit par blesser et tuer des auto-stoppeuses choisies au hasard. LĂąâŹâąhomme est partout et nulle part, Ă©chappant aux piĂšges des enquĂÂȘteurs et aux barrages. Il en rĂ©chappe dĂąâŹâąautant plus facilement quĂąâŹâąil est en rĂ©alitĂ© un jeune et timide gendarme qui mĂšne une vie banale et sans histoires au sein de sa brigade. Hiersoir, le cinĂ©ma français Ă©tait rĂ©uni pour la 40Ăšme cĂ©rĂ©monie des CĂ©sar. Voici le palmarĂšs complet, largement dominĂ© par "Timbuktu" d'Abderrahmane Sissako. Modifier mon compte Mes commandes S'identifier Nous contacter CGV Mes favoris DĂ©connexion Accueil CinĂ©mas Drame Le film Avis PrĂ©sentation Franck est un jeune homme, Ă priori, sans histoire. Gendarme modĂšle, il est plutĂŽt rĂ©servĂ© et vit un dĂ©but dâhistoire dâamour tranquille auprĂšs de la jolie Sophie. Mais, poussĂ© par des pulsions meurtriĂšres, Franck sâattaque Ă plusieurs jeunes femmes. AprĂšs avoir tentĂ© dâen renverser certaines, au volant de sa voiture, il a fini par tuer des auto-stoppeuses. Petit Ă petit, le dĂ©partement de lâOise, oĂč il sĂ©vit, sombre dans lâangoisse la plus absolue. Mais Franck va bientĂŽt ĂȘtre confrontĂ© aux limites de sa double vie. En effet, il se voit confier lâenquĂȘte sur les agressions et meurtres quâil a lui-mĂȘme Lâhomme quâon aimait trop dâAndrĂ© TechinĂ©, Guillaume Canet Jappeloup poursuit son exploration de personnages tourmentĂ©s, sombres et ambigus, loin des jeunes premiers sympathiques qui ont marquĂ© le dĂ©but de sa carriĂšre. Il est formidable dans ce thriller adaptĂ© dâune histoire vraie, survenue dans lâOise, Ă la fin des annĂ©es 1970. La rĂ©alisation nerveuse de CĂ©dric Anger LâAvocat avec Benoit Magimel est, quand Ă elle, extrĂȘmement efficace. Casting Derniers avis Avis publiĂ© par McVities le 8 dĂ©cembre 2014 Chronique glauque d'un grand frustrĂ© qui passe ses nerfs en pratiquant le fĂ©micide... beau rendu des annĂ©es 70, le personnage appelĂ© "Tonton" ressemble d'ailleurs beaucoup Ă un acteur français des annĂ©es VGE, un grand brun avec des faux airs de Tabarly spĂ©cialisĂ© dans le rĂŽle de flic ou second couteau. On bout en entendant la façon dont le gendarme/serial killer balance ses propos acerbes Ă la jeune femme amoureuse de lui, et on mesure l'Ă©volution des moeurs depuis 1978! Le film laisse peu de pistes expliquant la gĂ©nĂšse du monstre. On subodore une candidature chez les fus'co' recalĂ©e... ou quelque chose d'approchant. Eprouvant ! Ă voir Ă©galement... 1 avis sur La prochaine fois je viserai le cĆur Avis publiĂ© par McVities le 8 dĂ©cembre 2014 Chronique glauque d'un grand frustrĂ© qui passe ses nerfs en pratiquant le fĂ©micide... beau rendu des annĂ©es 70, le personnage appelĂ© "Tonton" ressemble d'ailleurs beaucoup Ă un acteur français des annĂ©es VGE, un grand brun avec des faux airs de Tabarly spĂ©cialisĂ© dans le rĂŽle de flic ou second couteau. On bout en entendant la façon dont le gendarme/serial killer balance ses propos acerbes Ă la jeune femme amoureuse de lui, et on mesure l'Ă©volution des moeurs depuis 1978! Le film laisse peu de pistes expliquant la gĂ©nĂšse du monstre. On subodore une candidature chez les fus'co' recalĂ©e... ou quelque chose d'approchant. Eprouvant ! Donner mon avis sur La prochaine fois je viserai le cĆur Nota Bene pour ĂȘtre publiĂ©, le contenu de votre avis doit respecter nos conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation. Newsletter Chaque mercredi, le meilleur des sorties culturelles Ă Paris. RĂ©seaux sociaux Suivez-nous sur Instagram, Facebook ou Twitter- Đ ĐŽ Đ”ŐŒŃÏ
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