Dansla famille de Lili Lapin , son petit frère n'est pas comme les autres. Alors pour Lili, c'est pas très simple
Chapitre 2 Un lycée pas comme les autres Bip ! Bip ! Bip ! Temari éteignit son réveil. Il était 7 h 30. Elle se leva, prit une douche, enfila un T-shirt à mange courte rouge, un slim noir effilé et un sweat shirt bordeaux trop grand pour elle puis descendit petit déjeuner. Baki Salut, bien dormit ? Temari Ouais, merci. Gaara n'est pas descendu ? Baki Nan, tu peux le réveillé sil te plaît ? Temari *Sourire sadique* Pas de problème. Baki En fait je crois que je vais le faire. Temari T'as pas confiance en moi ? Baki Pas quand tu fait cette tête. Temari Je te renie. Baki souri et monta réveiller Gaara. Baki Gaara ? C'est l'heure, faut se réveiller. Gaara Deux minutes Baki. PLOUF ! Gaara Temari t'es malade ! La blonde tenait un seau dans ses mains et pleurait de rire. Baki Voilà pourquoi je ne voulait pas que tu le réveilles. Gaara Temari...t'es morte ma vieille ! Temari *Encore morte de rire* Fuyons ! Baki Vous êtes des gros gamins. Temari Et fière de l'être ! Gaara Elle est une grosse gamine. Temari Toi je suis pas sûre que t'ai des leçons à me donner sur ce domaine. Baki Là elle à pas faux. Gaara Pourquoi vous êtes toujours tous les deux contre moi ! T_T Baki Chai's pas. Gaara Je vais vous tuer ! Sur la route pour aller à l'école Gaara J'ai mal. Temari Pourquoi ? Gaara Je te rappelle que quand j'ai voulut te sauter dessus tu m'as balancé dans les escaliers. Temari Ah ouais, j'avais oublié. Gaara Le pire c'est qu'elle est fière d'avoir faillit tuer son frère. Temari C'est pas une grosse perte pour l'humanité. Ils arrivèrent au lycée et allèrent dans le bureau de la proviseur. Toc ! Toc ! Proviseur Entrez ! Les jumeaux entrèrent dans la salle. Tsunade Vous devez être Temari et Gaara No Sabaku. Temari Ouais. Proviseur Je suis la proviseur de ce lycée mais appelez moi Tsunade. Alors, vous êtes en 1e D, voilà vos emplois du temps, Shizune va vous accompagnez dans votre classe. Une brune leur indiqua le chemin et ils se retrouvèrent tout les deux devant une porte. On pouvait entendre le professeur qui criait. Temari Je te paris 20 euros que il y a un psychopathe dans cette salle. Gaara Je ne paris pas. Pas ce que il y a bien un psychopathe dans cette salle. Toc ! Toc ! ... ENTREZ ! Temari Bonjour, on est nouveau... ... JE SUIS MR OROSHMARU, PROFESSEUR DE MATHS ET JE VOUS ORDONNE DE VOUS PRÉSENTER !!! Temari Je m'appelle Temari No Sabaku et je suis une élève de première. Gaara Gaara, son frère jumeaux. Oroshimaru TEMARI, ALLEZ VOUS ASSEOIR A COTE DE MR UCHIWA ET GAARA DEVANT MON BUREAU A COTE DU BAKA BLOND !!! Ils allèrent s'asseoir à leurs places respectives. Temari *chuchote* Salut. Sasuke *chuchote aussi* Salut. Temari Ce type il gueule c'est impressionnant. Sasuke T'as vu. Temari Euh...pourquoi y'a une fille qui te regarde amoureusement ? Sasuke C'est Karin, laisse tomber, la plus grosse pouf que j'ai jamais connu. Temari Je vois le genre. Oroshimaru ON NE PARLE PAS !!! Driiiiing ! Les élèves sortirent joyeusement du cour atroce de maths pour aller dans la cour. Sasuke Viens, je vais te présentez mes amis. Ils allèrent tous les deux vers une bande amis qui riaient aux éclats. Sasuke Salut. ... 'lut. Sasuke Les mecs, et le filles, je vous présente Temari No Sabaku. Une fille au cheveux rose s'approcha d'elle. ... Salut ! je m'appelle Sakura Haruno mais appelle moi Saku. Et oui mes cheveux sont rose naturellement. Sasuke Je te fait les présentations de gauche à droite; Neji, Hoshi personnage inventée, Tenten, Kiba, Naruto, Hinata, Ino et Shikamaru. Hinata En...enchantée de faire ta...connaissance. Appelle m..moi Hi...Hina. Hoshi Elle s'est la petite timide du groupe. Ino Et toi t'es l'extravertie. Tenten Un peu trop extravertie d'ailleurs. Gaara Temari ? Temari Ah, je vous présente mon frère jumeaux, Gaara. Gaara C'est qui eux ? Temari Ino, Sakura, Tenten, Hinata, Hoshi, j'ai oublié, Sasuke; j'ai oublié, Naruto, j'ai oublié et j'ai oublié. Sakura Bizarrement t'a retenu Naruto. Temari Parce que c'est ce qu'on met dans les ramens. Naruto C'est mon oncle qu'a choisis c'te prénom à la noix alors qu'il était en train de manger je ne sias combien de bols de ramen. Gaara Cool. Tu veux que je te dises quoi ? A part que t'as oublié la moitié des prénoms. Temari Bah t'as cas rester avec nous. Gaara Ouais pourquoi pas. Mais avant j'ai une chose à te dire. Temari OK, dorénavant j'essayerais de ne pas te balancer dans les escaliers. Tous sauf les jumeaux Le quoi ?! Gaara Elle m'a lancé dans les escaliers ce matin. Mais c'est pas ça que je voulais te dire. *chuchote* Baki est prof ici. Temari Quoi ?! Gaara Je l'ai vu enter dans la salle des profs. Temari Il va devoir nous expliquer un truc ce soir. Sasuke Temari ! Temari J'arrive ! Allez viens Gaara. Gaara Elle s'appelle comment la rousse ? Temari Hoshi pourquoi ? Gaara Pour savoir. Sasuke Vous parliez de quoi ? Les jumeaux De rien. Sasuke Je te refait les prénoms des mecs. Alors, Neji, Kiba, Naruto et Shikamaru. Temari Ouah, c'est long comme prénom. T'as pas un surnom ? Shikamaru Nan. Temari je vais t'en trouver un...Ananas. Shikamaru Hé ! Temari Bah quoi ? Shikamaru Je suis pas un ananas ! Galère qu'est-ce que vous avez tous avec ça ! Temari Je sais que t'es pas un ananas mais t'es coiffé comme un ananas. Shikamaru Pourquoi tu nous as ramené cette nana galère. Gaara Protège ta tête. Shikamaru Pourq... PAF ! Shikamaru Mais t'es folle ! Gaara Elle est hyper susceptible. Shikamaru Je vois ça, cette fille est une vraie furie, pire que Hoshi ! C'est Galère ! Gaara Je t'aurais prévenu. CLAC ! Temari Je ne suis pas une nana galère ni une furie s'pèce d'ananas ! Neji Eh bah, c'est deux là ils vont nous donner du fil à retordre. Kiba Grave. Driiiiing ! Sasuke Deux heures de sports avec Gaï. Ino Lui il est pire que le père Oroshimaru. Gaara J'imagine bien le genre. Vestiaire des filles. Temari Quand tu disais pire, c'est pire comment ? Ino Il croit qu'on est tous es supermans. Temari Comment ça ? Hoshi Il nous fait faire des choses qui sont au dessus de nos forces. Tenten Du genre ... Tu vois le saut à la perche ? Temari Ouais. Tenten C'est ce qu'on a fait au premier trimestre. Temari Sérieux ?! Hinata Ou...oui. Gaï Allez les filles on se dépêche les garçons sont tous sortis ! Temari J'y vais. La blonde sorti des vestiaires et alla rejoindre ses nouveaux amis quand quelqu'un la siffla. Temari Qui à fait ça ? ... Shino Abrume, pour vous servir. La fille allait le gifler mais à l'étonnement de tout le monde ce fut Gaara qui le frappa le premier et le mit à terre. Gaara Tu touches pas à ma sœur. Shino Mais t'es fou toi ! Temari Merci Gaara, tu peux le lâcher maintenant. Le garçon le lâcha puis le foudroya du regard. Shino Il est triso ton frère. PAF ! Temari On traite pas mon frère de triso ! Gaï Qu'est-ce qu'il se passe ici ! Temari Il a dit que vous êtes un prof nase. Gaï Quoi ?! 100 tours de terrains Abrume ! Shino Mais ! Monsieur ! Gaï On ne discute pas mes ordres ! Quand le garçon passa à côté de Temari, elle luis souffla à l'oreille. Temari Voilà ce qui se passe quand on s'en prend à un No Sabaku. Karin Monsieur ! En vrai Shino n'a pas dit que vous êtes nase. Temari *Merde* Gaï Comment ça ? Sasuke C'est elle. Karin Quoi ?! Karin toi aussi 100 tours de terrains. Temari regarda Sasuke d'un sourire complice. Il lui répondit par le même sourire. Gaï Bien, maintenant que cette affaires est réglée, vous allez faire une course de 1 kilomètre en saut de haies ! Tous sauf Gaï Hein ?! Gaï Dépêchez vous ! Les élèves s'exécutèrent. Gaï Ah, la jeunesse. 17 h 00 Neji Allez, à demain ! Hinata tu viens ? Hinata J'a...j'arrive. Ino Dit Naruto, qu'est-ce que penses tu de Hinata ? Naruto Elle est mignonne. Pourquoi ? Ino Pour savoir, pour savoir... Naruto Allez, je dois y aller. Salut ! Sakura Salut baka. Tenten Il faut faire un truc pour ces deux la. Hoshi Grave. Kiba Mais c'est pas possible, vous ne pouvez pas deux secondes arrêter de vous mêler à la vie privée des autres ?! Sakura C'est toi qui nous dit ça ? Kiba Bon, c'est pas tout mais je dois y aller. Sakura Contourne pas le sujet ! Kiba A plus les gens ! Sakura Ce type est exaspérant. Shikamaru Comme vous. Gaara Mais t'es suicidaire où quoi ?! PAF ! Temari C'est parti tout seul. Hoshi On va bien s'entendre toutes les deux. Shikamaru J'y vais avant que cette furie me tue. Gaara -__-" CLAC ! Gaara T'es complètement con où quoi ? Temari Chui's pas une furie s'pèce d'ananas ! Shikamaru Salut. Le Nara parti s'en s'empêcher de souffler un galère. Temari Lui je sais pas si il; va rester en vie très longtemps. Ino T'as pas intérêt à le toucher ! Temari T'es amoureuse ? Ino Ça te dérange ? Temari Nan. Pas du tout. Au contraire, vous formez un très joli couple. Ino C'est vrai ? Temari *Non.* Oui, je t'assure ! Gaara Temari, c'est pas qu'on est à la bourre mais faudrait quand même se grouiller. Temari Ouais, bon. Salut les gens ! Chez eux Les jumeaux Baki ! Baki Oui ? Gaara Depuis quand t'es prof ? Baki Vous ne le saviez pas ? Les jumeaux Nan. Baki Et bah maintenant vous le savez. Au passage, je suis votre prof de physique chimie. Les jumeaux Quoi ?! Baki Bon sinon vous pensez quoi de ce lycée ? Temari Il est bizarre. Gaara C'est pas un lycée comme les autres.
Unmail comme une bouteille à la mer. D'ordinaire, l'écrivain Pierre-Marie Sotto ne répond jamais aux courriers d'admirateurs. Mais cette Adeline Parmelan n'est pas une " lectrice comme les autres ". Quelque chose dans ses phrases, peut-être, et puis il y a cette épaisse et mystérieuse enveloppe qu'elle lui a fait parvenir - et qu'il n
Gill Stone est un grand homme d'affaire qui a commencé à faire du marché noir pour gagner toujours plus. L'argent est le seul mot qu'il connaisse. Sa vie tourne tout autour de l'argent. Sa femme Kate est enceinte de sept mois. Elle commence à avoir marre de l'absence répété de son mari. Sa gentillesse la tuera sûrement un jour » a prononcé la mère de Kate, le jour de leur mariage en guise de discours de félicitation. Pierre leur fils est mort, il y a trois mois d'une crise cardiaque, à l'âge de 6 ans. Jeanne est leur deuxième enfant, elle a maintenant 4 ans, et souffre beaucoup de l'absence de son grand frère adoré. Elle le cherche encore maintenant partout chez elle, en espérant qu'il va revenir. Ses cris et ses pleures perce chaque nuit le lourd silence de la demeure, où sa mère n'arrive pas à l'apaiser de son profond chagrin. Comme chaque jour, Gill sort de son travail dans les alentours de 23h35. Il ne rentre chez lui qu'à minuit et demi après sa petite heure de route qui le sépare de son travail. Il rentra chez lui par la porte d'entrée son faire de bruit pour réveiller personne. Au moment où il rentra dans la cuisine, un bruit sourd retentit des escaliers. Des bruits de pas se rapprochaient de plus en plus de lui. La seconde qui suivit, plus aucun bruit. Un lourd silence se faisait, excepter le son bruyant de son cœur qui battait à 100 à l'heure, et perçait les ténèbres qu'offrait la nuit. La lumière de la cuisine s'arrêta, comme tous les appareils en marches dans la pièce. Un rire grave et rauque se fit entendre. Gill tourna sa tête dans tous les sens pour trouver l'endroit d'où prévenait le rire, mais sans succès. Il essaya de trouver dans le placard la lampe de poche, mais en vain. Un souffle se fit ressortir sur sa nuque. Il se retourna brusquement et manqua de tomber. Il avait remarqué qu'il n'y avait rien qui l'entourait. La lumière s'alluma de nouveau. Il lâcha un soupir de soulagement. Il entendait de nouveau des bruits de pas venir, mais cette fois-ci les pas arrivaient par ici. Gill prit une casserole et se prépara à attaquer la personne qui arrivait. Lorsqu'elle rentra, il l'a reconnu. Un choc venait de se faire dans sa tête. Il essaya avec difficulté de cacher la casserole derrière lui. -Je peux savoir ce que tu fais à cacher une casserole derrière ton dos ? demanda sa femme. -Rien. Tu m'as juste fait peur. -Je t'ai fait peur ? dit-elle avec un petit sourire. -Si tu n'as rien à me dire, je te prierais de retourner dans ta chambre. -Quelle froideur. Je vois que tu n'as pas changé, toujours aussi charmant depuis notre mariage. Je me demande où est l'homme qui m'a fait tomber amoureuse. -Suffit ! S'exclama-t-il. Je n'ai pas besoin de ton sarcasme. Kate passa sa main dans ses cheveux en soupirant, avant d'ajouter -Je suis simplement venue te demander ce que tu allais faire demain. -Quelle question ! Je vais travailler bien sûr. Il faut bien que quelqu'un le fasse. -Je te rappelle, si tu ne l'avais toujours pas compris que je suis enceinte et en fin de grossesse. Oh ! Mais aussi que depuis quelques jours, je suis sous surveillance de ma mère pour qu'il n'arrive rien au bébé ou à moi. Puisque je te le rappelle qu'il y a trois mois, notre fils est mort. -Toujours avec une bonne excuse, répondit-il en mettant la casserole qu'il avait plus tôt sur la gazinière. -De toute manière, il n'y a que les idiots qui ne change pas, dit-elle en partant de la cuisine pour ne plus l'entendre. Gill soupira puis se fit cuire à manger, avant de partir se coucher dans la chambre d'ami. Il ne voulait pas voir sa femme. **** Le lendemain soir à la sortie de son travail. Gill sortit dans les environs de onze heures. Il partit en direction de sa voiture, avec les bras chargés. Il ouvrit sa voiture, et mit ses dossiers dans le coffre. Il se remémora que Sabrina, sa secrétaire, lui avait dit qu'elle avait fait une dernière mise à jour sur leur dossier confidentiel. Il referma sa voiture et repartit en direction de son bureau. Lorsqu'il arriva, il vit le dossier qu'il devait regarder posé sur son bureau. Il attrapa la mallette métallique qui se trouvait dans son placard, et mit le dossier dedans. Il sortit et ferma son bureau. Il posa sa mallette sur la table adjacente à son bureau. Il se dirigea vers le bureau en face du sien, pour savoir si Sabrina était déjà rentré. Lorsqu'il ouvrit la porte, il vit que la lampe était éteinte et que son bureau était rangé. Il haussa les épaules. En referma la porte, il ressentit un fort coup de vent qui manqua de le faire tomber. La table à roulette quant à elle roula jusqu'au bout du couloir et fit tomber la mallette en heurtant le mur. Gill se rua dessus, mais un homme, sûrement l'agent de sécurité pensa-t-il, ramassa la mallette. Il leva ses yeux couvert par des lunettes de soleil noir opaque. -C'est à vous ? demanda-t-il à Gill. -Oui, pourriez-vous me la remettre je vous prie. Répondu Gill en tendant la main. -Hahaha ! Qu'est-ce que j'y gagne à vous rendre cette mallette qui a l'air très importante pour vous. -Rien, ceci m'appartiens alors rendait la moi. -Oh ! Est-ce qu'il y aurait quelque chose dedans qui pourrait nuire à votre réputation ? Je veux bien fermer les yeux si je gagne quelque chose en échange. Gill pâlit à l'idée qu'on puisse mettre la main sur la mallette, beaucoup trop de chose se trouvait dedans. Il le savait, tout à un prix. Il adorait faire du chantage aux gens, il n'aurait jamais imaginé qu'un jour ce soit son tour. Et cette dernière phrase était la phrase qu'il disait à chaque fois avant de faire son chantage, mais cet homme ne lui disait rien alors comment pouvait-il l'a connaître. -Que voulez-vous ? demanda Gill. -Je vous la rends, si vous acceptiez un jour une faveur. -Si vous voulez, maintenant rendait la moi. L'homme tendit la mallette que Gill arracha avant de partir. Il put toute fois entendre l'homme lui dire -Aujourd'hui, c'était le dixième anniversaire de mariage avec votre femme, mais vous avez oublié. Gill se raidit à cette idée. Comment avait-il pu oublier. Il allait devoir trouver demain matin en se levant une bonne excuse. Il ne s'en inquiéta pas tant que ça puisqu'il se disait dans sa tête qu'il aura toute la nuit pour y réfléchir.
FauxFrère Chapitre 6 est une chanson en Français. (Discussion) Moi j'fais mes bails comme d'habitude. Le rin-te les passes comme d'habitude. J’sors les mêmes phrases comme d'habitude. « Hey boloss tu veux quoi ? » On t'vissère comme d'habitude. Les bougs chipotent, j'espère qu'c'est pas une banane.
Je venais de remonter le temps, je n'en revenais pas. Moi, Capucine, je venais grâce à ce livre de faire un bond de douze ans en arrière. Mais que va t-il se passer ? Que suis-je censée faire ? Y'a t'il des règles ? Je suis perdue... Je me retrouve dans un monde qui m'est plus que souvenir, si flou que ma mémoire ne se retrouve plus, et les peu d'éléments qui me reviennent sont si vague... Mais quelle nostalgie ! Cette salle de classe, ce bureau où je m'asseyais, ce soleil radieux qui n'était pas gêné par la pollution actuelle. Je me perdais dans mes pensées, dans mes souvenirs quand soudain la porte s'entrouvrit et une dame entra tout en disant - Les enfants, voici votre salle de classe durant tout votre année scolaire, vous verrez sur vos bureaux des... Elle interrompit sa phrase aussitôt qu'elle me vit dans cette même salle et m'adressa la parole. Je ne l'entendais pas, du moins je ne faisais pas attention, je restais la bouche grande ouverte, à contempler ce monde que j'ai connu jadis. Puis des sons me parvint dans mon oreille - Mademoiselle, Mademoiselle ? Qui êtes-vous et que faîtes-vous ici ? Je me retourna, me ressaisissant après l'avoir entendu - Oui excusez-moi... Je suis Capu... euh non pardon, je m'appelle Julie ! disais-je en essayant de prendre le maximum d'assurance pour être crédible et ne pas révéler mon identité. - Et que faîtes-vous ici à cette heure-ci ? Vous faîtes partie du personnel ? - Ah euh, non non, je me suis égarée... Disais-je tout en baissant la tête et sortant de la salle, présentant mes excuses, quand je franchis la porte, je me vis... C'était moi, devant moi, sans miroir, sans photo, je ne rêvais pas, cette petite fille avec des chaussures roses toute mignonne que je voulais absolument à l'époque, et ce cartable Diddle que j'aimais plus que tout, pas de doute, c'était moi il y a douze ans. C'était incroyable ! Je me suis figée, comme si le temps s'était arrêté. J'étais si innocente et je semblais si gentille à l'époque. Pourquoi diable ais-je changé ?! La moi d'il y a douze ans s'arrêta elle aussi et me fixa avec insistance, elle semblait troublée... Afin d'éviter un quelconque rapprochement je me retourna pour sortir de l'école, et je vis... Slevin. Il se tenait derrière moi, tout aussi troublé, et semblait aussi me fixer... J'avais peur, peur qu'ils ne remarquent ma veritable identité... Mais c'est alors que je compris que ce n'était pas moi qui était la cible de leurs regards assassins, à l'époque, je fus troublée par ce garçon, pour qui, dès ce premier instant, j'avais des mis les voiles, le sourire aux levres en voyant cette si belle scène "coup de foudre", et en sortant je réalisais que je me retrouvais seule, lâchée dans une ville sans aucun repère, sans argent, sans endroit ou dormir, sans amis, sans rien. Comment survivre ? Je devais trouver une solution rapidemment, et c'est en pregardant le livre que je tenais dans les mains que je me suis dit qu'il y a douze ans, donc dans le monde où je me trouve, Mathis et son frère sont surement encore en vie. Peut-être devrais-je aller les voir et leur expliquer ma situation !Mais ce livre n'etait pas ecrit il y a douze ans, fin pas ecrit puisqu'il est theoriquement "vide" mais il n'était pas paru, edite, voire même pas pensé. En même temps, c'est ma dernière et unique chance de m'en sortir, je n'ai plus vraiment le choix...Par chance, je me souvins que j'avais gardé que je m'étais procurée à la bibliotèque sur lequel figure l'adresse de Mathis. Je prie maintenant qu'ils habitaient là -bas, douze ans pris les transports en commun, et me rendis dans l'immeuble où j'étais allée quelques heures auparavant à mon époque. C'est fou de voir les changements que le temps a opéré sur les gens, les coutumes, les mentalités et le paysage. Ce monde là semblait si calme et reposant, non empesté par cette pollution et ces cons qui envahissent nos rues le soirs... Si mes souvenirs sont bons, je dois aller au 4ème étage... Je pris l'ascenceur quand soudain, un pied surgit pour bloquer la porte qui se fermait petit à petit. Coïncidence ou pas, cette situation ressemblait à celle que j'ai vecu au meme endroit douze ans plus porte se réouvrit et un homme plutot petit, qui semblait calme et reservé, entra dans l'ascenceur. Son visage m'était famillier, il ressemblait à l'homme qui m'a donné ce livre, le frère de Mathis. Je me permis de lui demander son étage, et il me repondit qu'il allait au 4ème, comme je m'y attendais. Au début, j'hesitais, j'étais nerveuse, j'étais bloquée, ne pouvant faire le premier pas... Mais bon, c'est mieux d'avoir des remords que des regrets !- Vous êtes Mathis Cherving ?Il me regarda avec frayeur, tremblant de tout son corps, il bafouilla un mince son de voix me repondant - oui, que ?- N'ayez pas peur, je m'appelle Capucine, j'ai 18 ans et j'ai a tout prix besoin de vous Euh.. oui comme vous voudrez... Je m'installais dans son salon, et afin de briser le silence pesant, entre sa crainte et ma nervosité, il me dit - Comment avez vous su qui j'étais ?- Vous ressemblez trait pour trait à votre Vous connaissez mon frère ?- Comment dire, c'est compliqué et vous n'allez sûrement pas me croire, mais c'est justement l'objet de ma venue ici. Vous voyez le livre que je tiens, il est à votre nom, vous l'avez écrit. - Vous mentez je n'ai jamais écrit de livre ! Je suis en pleine recherche sur mon premier ouvrage mais je n'ai jamais ecrit ce livre !- Aujourd'hui oui, mais dans douze ans, vous aurez publié ce livre. Votre projet ne consisterait pas a remonter le temps ?Il était surpris. - Comment etes vous au courant je n'en ai parlé a personne, pas meme mon frere !- Vous ne comprenez pas ? Je viens d'une époque ulterieure, plus precisemment de douze ans, je suis arrivée dans ce monde grâce à votre livre...C'est yeux brillaient, il n'en revenait pas... Ce livre est... mon livre ? J'ai vraiment réussi à faire cela ? - Visiblement oui, lui lachais_je avec un air moqueur. Il avait les larmes aux yeux... C'était émouvant. Il repris ses esprits et me regarda, il ne tremblait plus, comme s'il avait de nouveau pris confiance en lui ! Il me posa quelques questions - Suis je connu grace a ce livre ? S'est-il bien vendu ?- A mon epoque... vous êtes décedé...
Lesélèves de CE1 de la classe de CE1/CE2 lisent à voix haute cette très belle histoire écrite par Marie-Hélène Delval. Lili-Lapin a un gros souci : son petit frère Doudou-Lapin a beau grandir, on dirait qu’il reste un bébé. Il ne parle pas, il salit
Paul Paris nous livre ici le premier épisode d'un récit où Georges découvre de nouvelles pratiques familiales. Bienvenue à Paul, un nouvel auteur que nous accueillons sur notre blog. I – L’intégration en douceur Mon père, cadre supérieur dans un multinationale, venait d’être muté en Asie et ma mère décida de le suivre. D’un commun accord avec ma mère, mon père prit la décision de ne pas m’expatrier en cours d’année. J’étais en classe de Terminale dans un établissement parisien et la fin de l’année était donc sanctionnée par le Bac Un diplôme qui n’ouvre pas beaucoup de portes mais qu’il vaut mieux avoir pour envisager un avenir plus serein. J’allais sur mes 18 ans. Je n’étais pas spécialement en avance mais pas en retard. J’étais normalement » turbulent. Dans la moyenne. Un ado, avec les réactions logiques qu’on a à cet âge-là ! Par relations, ils avaient trouvé à Tours une famille qui correspondait à leurs valeurs. Une famille bon chic-bon genre », un père militaire et une mère qui consacrait son temps à l’éducation d’une ribambelle de 5 enfants dont des jumeaux de mon âge. Le fils aîné ayant quitté la maison familiale pour poursuivre ses études à Paris, ils pouvaient m’héberger et prendre soin de moi pour les 6 prochains mois comme s’il était un de nos enfants » avait précisé Marie Ange H., la mère de famille, sur un ton bienveillant qui rassura complètement mes parents. J allais quitter un cocon familial très confortable, aimant, une mère attentive à l’éducation de son seul fils mais souple et privilégiant volontiers le dialogue plutôt que l’autorité. Avec un peu d’appréhension, j’allais découvrir une nouvelle famille, une nouvelle ambiance, de nouvelles règles de vie. J’allais devoir m’adapter à une famille de 5 enfants, moi qui étais fils unique. J’allais aussi découvrir ceux qui feraient office de parents par intérim. Me voilà donc en route, ou plutôt en train, pour Tours avec quelques appréhensions justifiées par la crainte de la nouveauté. Appréhensions vite dissipées dès mon arrivée sur le quai. Marie Ange, que je continuerai longtemps à appeler Madame malgré ses suggestions, était une fort jolie femme, environ 45 ans, élégante et souriante. Elle me sembla tout de suite très avenante, dégageant des ondes très positives, très accueillantes. Beaucoup d’allure et d’empathie. Quelques instants plus tard j’allais faire la connaissance d’Hubert, le colonel », un grand monsieur au regard franc et direct et surtout de mes nouveaux camarades à l’exception d’Alain, l’aîné déjà en route pour Paris. Baudouin avait presque 19 ans. Il semblait assez réservé. Les jumeaux – un garçon et une fille – se prénommaient Charlotte et Christian Puisqu’ils avaient mon âge, c’est sans doute avec eux que je serai le plus souvent complice.. Le petit dernier, Denis, avait l’air le plus turbulent. Je notais avec amusement le choix des prénoms A pour l’aîné jusqu’ à D pour le plus jeune en passant par le C attribué aux jumeaux. Il régnait dans cette famille une bonne atmosphère. On me montra ma chambre, pour moi tout seul, et on me suggéra d’y ranger mes affaires. Denis, en rigolant ajouta, et que ça saute… sinon… ». En redescendant dans le salon, Marie Ange me demanda de ranger aussi mon blouson que j’avais laissé trainer dans le vestibule. Il y a un placard près de la porte d’entrée ». Un grand placard profond dans lequel j’allais pendre ce blouson. Mais stupéfait, j’y vis tout de suite, pendu à la porte des instruments qui ne m’étaient pas familiers même si j’en devinais aisément l’objet un martinet, une grande cravache et une baguette en rotin…. J’étais évidemment troublé par cette découverte. Tout le monde semblait serein, calme. L’humour régnait et la famille semblait aimante. Au fond, pourquoi s’inquiété. Ce séjour semblait s’annoncer si bien…. J’allais me coucher, confiant dans mon intégration dans cette famille, avec en tête le sourire et les beaux yeux de Marie-Ange mais aussi troublé par ce que j’avais vu dans le grand placard du vestibule. Le lendemain de mon arrivée, j’allais rentrer assez vite dans l’ambiance de la famille. Le petit-déjeuner fut pris rapidement, comme dans beaucoup de familles, dans la précipitation. Il fallait être à l’heure à l’école. Hubert, que tout le monde surnommait le colonel » avait quitté la maison très tôt et pour une quinzaine de jours. Il avait l’air sympathique mais sévère. J’étais un peu soulagé qu’il en soit ainsi. La relation avec Marie-Ange semblait plus facile, plus chaleureuse. Très agité, Denis renversa son bol de lait. Marie-Ange le calma d’un regard appuyé doublé d’un simple mot un ». Je ne connaissais pas encore les codes de la famille et donc je n’en compris pas le sens, mais il fallait partir pour l’école. Je n’allais pas être en retard dès le premier jour. Je tenais à faire bonne impression, surtout le premier jour. La journée se déroula sans anicroche particulière. L’école – privée – ressemblait à tant d’autres. La discipline semblait y régner mais on n’était pas sous le régime de l’Angleterre victorienne. On me remit un cahier de correspondance en me précisant que le contrôle familial était une des bases de la relation avec les familles. Je ne te compris pas tout de suite la menace discrète qui se cachait derrière cette formule. Le soir, les devoirs achevés, le repas était pris en famille. Il convenait d’y être ponctuel. Denis, par nature, ne l’était pas en fut en retard de quelques minutes. Deux » annonça Marie-Ange sans que je ne comprenne plus que le matin même. Les autres membres de la fratrie, à l’exception de Denis, sourirent. Ils semblaient parfaitement savoir ce qui allait suivre. Je me promis alors de demander aux jumeaux de m’expliquer la chose après le dîner. Cela ne fut pas utile… Pour faire bonne impression, je me levais pour aider Marie-Ange à rapporter un plat à la cuisine. Ici chacun mettait la main à la pâte et je voulais toujours montrer à Marie-Ange ma bonne volonté. Je voulais trouver ma place à ses yeux dans cette famille. A mon retour, alors que j’allais m’asseoir, Denis fit basculer ma chaise d’un rapide coup de pied. Je manquais tomber. Denis, lui, éclata de rire…. Et trois » prononça alors Marie-Ange, sans se départir de son calme. Seul le ton avait changé, plus dur, plus menaçant. Elle souleva Denis par le bras pour l’attirer à elle. En deux temps et trois mouvements, avec une efficacité incroyable, Marie-Ange le fit décoller de sa chaise, le déculotta, le coucha en travers de ses genoux, et sans crier, annonça tu auras été assez prévenu pour aujourd’hui. Estimes toi heureux. Tu seras juste fessé en guise d’avertissement… mais la prochaine fois… » et sans terminer sa phrase elle leva son bras pour faire retomber une main leste et ferme à la fois sur le postérieur dénudé. Dix, vingt, trente claques peut-être. Les fesses devinrent progressivement rouges, très rouges. Denis serrait les dents, puis ne put s’empêcher de pleurer et de battre des jambes. En vain. La fessée tombait impitoyable sur les fesses d’un Denis qui ne pouvait presque pas bouger, maintenu fermement par un bras sur le creux de son dos. La correction achevée, Denis se redressa quittant les genoux de sa maman. Marie-Ange ajouta avant d’aller au coin, va t’excuser auprès de Georges ». Bon camarade je fis signe que je n’en demandais pas tant et que c’était bien inutile ! Sur un ton ferme Marie-Ange me fit savoir que ce n’était pas à moi d’en décider. Si un jour je dois t’administrer une punition, tu devras en passer aussi par là . Une faute doit générer une punition et des excuses. C’est la règle ». Le ton de Marie-Ange restait empreint de bienveillance mais ne souffrait manifestement aucun appel, aucune contestation. Pendant que Denis regagnait, cul nu, le coin, je blêmis. Certes j’avais déjà reçu quelques fessées à la maison, certaines assez musclées, mais plus depuis l’âge de 12 ans environ. La fessée n’était pas le mode d’éducation privilégié à la maison et je ne gardais que peu de souvenirs cuisants de corrections reçues de mon père ou de ma mère. Et voilà qu’on m’ouvrait une perspective nouvelle qui me laissait sans voix. Denis était maintenant au coin, cul nu. Les autres semblaient indifférents, habitués. Je l’entendais renifler, ravalant probablement ses larmes. La scène qui venait de se dérouler sous mes yeux et qui m’avait retourné semblait donc faire partie des us et coutumes. Voilà qui m’intriguait Mais, malgré la dernière phrase prononcée par Marie-Ange au sujet d’une hypothétique punition me concernant, je ne pouvais pas m’empêcher de me réfugier derrière l’idée rassurante qu’à presque 18 ans, je ne serai ni déculotté ni fessé. Les conversations reprirent comme si rien d’exceptionnel ne s’était passé. Puis le dîner s’acheva, on s’en doute, dans le calme. Sur injonction de sa maman, Denis, les yeux rouges – et les fesses aussi - vint s’excuser auprès de moi, puis il fut autorisé à se reculotter. Je venais d’assister à un premier round d’observation qui allait hanter ma nuit. J’allais me coucher, avec un sentiment mitigé. Cette famille était vraiment sympathique mais… l y avait un mais » dont je ne définissais pas encore parfaitement les contours. La suite ? C'est le chapitre 2 Des encouragements, des réactions, des appréciations ? Vous pouvez rédiger un commentaire et le poster sur le site si vous souhaites que la communauté des lecteurs en ait connaissance. Vous pouvez également joindre directement Paul, par courriel paulparisfr
DescriptionLili-Lapin a un gros souci : son petit frère Doudou-Lapin a beau grandir, on dirait qu’il reste un bébé. Il ne parle pas, il salit tout, il bave, et parfois il fait même pipi sur le tapis. Lili a souvent envie de le gronder Mais quand les autres enfants le traitent de « boudin qui ne comprend rien »,
Pas que les vivres manquer à la prison. Mais Daryl avait décider d'aller chasser en forêt. Il n'aimait pas rester enfermer trop longtemps rôdeurs ou non. Et puis il en avait assez des conserves, un peu de gibier changerai le heures plus tard il avait attraper 6 écureuils et traquer un opossum qu'il imaginer déjà rôtie. Les filles du camp n'étaient pas mauvaises cuisinières. Soudain un cri à l'aide et un coup de feu ce fit entendre. Ça aller forcément attirer bon nombre de rôdeurs!! Encore un pauvre abruti qui venait de gâcher ses munitions avant de ce faire bouffer!...... 4.....5....7.....10 rôdeurs arrivaient petit à petit repérant le Et merde, merde, merde! Si je le chope ce con!Il tira plusieurs flèches mais les zombies venaient de plus en plus nombreux. En arrivant il avait vu une vieille cabane. Bien qu'elle ne ferait pas obstacle très longtemps contre les rôdeurs s'y abriter lui donnerai le temps de réfléchir à une solution pour ce sortir de cabane semblait encore plus minuscule de l'intérieur, la seule fenêtre été casser et le verrou de la porte en mauvais état. Daryl commençait à ce dire qu'avec plus que deux flèches venir ce réfugier ici n'était peut-être pas la solution!Il n'allait quand même pas mourir aujourd'hui? Pas comme ça? Pas aussi bêtement? Que ferait les autres si il ne revenait pas? Merle ce foutrait bien de sa gueule de le voir ainsi piégé comme un rat. Non en fait il s'est toujours foutu de sa gueule pour tout et n'importe quoi. Il était tranquille avec les rôdeurs celui là tiens maintenant qu'il été mort. Ah la mort.... combien de fois Merle c'était fichu de lui quand il lui disait qu'il y aller dans le Royaume des Morts avec une amie morte? Bettyjuice.... mais elle était imaginaire, on lui avait assez répété qu'elle n'exister porte céda sous les assauts des morts-vivants. Daryl tira une flèche, après tout il n'aurait pas l'air plus con de mourir en essayant de prononcer son nom....Daryl- Bettyjuice! Bettyjuice! Bettyjuice!Un IT'S SHOWTIIIIIME » résonna dans la cabane. Daryl crut rêver, les rôdeurs tombaient les uns après les autres la tête exploser. Une fois qu'ils étaient tous à terre une fumée noir et blanche ce forma devant lui, quand elle ce dissipa Bettyjuice était Y'avais longtemps qu'on m'avait pas appeler! Alors gueule d'amour on avait besoin d'aide? Plus si affinité?Daryl avait toujours eu une grande gueule. Mais pour la première fois de sa vie il était à court de mots. Comme si tout ses souvenirs d'enfance avec Bettyjuice lui revenait, tout ce qu'il s'était acharné à oublier ce convainquant qu'elle n'exister pas. Mais elle ne l'avait pas reconnu??Elle pourtant était comme dans ses souvenirs... le teint pâle des morts, bien qu'autour de ses yeux du noir c'était incruster, brune aux cheveux court et habiller de vêtements noir et blanc à rayures verticales. Comme son frère Beetlejuice non? Il ce souvenait avoir déjà vu son frère une fois ou deux....Bettyjuice- Youhouuu y'a quelqu'un là dedans?La fantôme le sortit de ses pensés en passant une main devant ses yeux. Elle s'était quelque peu surélever dans les airs, il ce rappelait d'elle plus grande, mais comme à l'époque il était plus Bet'?Elle ce recula quelque peu surprise... ce n'est pas un surnom qu'on lui donner souvent. Betty essaya de dévisager cet inconnu devant elle, il lui rappeler quelqu'un... ses yeux... ce grain de beauté... c'était quand même pas....Bettyjuice- Mon Dada?Daryl hocha la tête. Quand il était gamin voir une fantômette un peu folle lui semblait normal, à l'heure actuel ça lui semblait juste incroyable! Encore plus incroyable quand Betty ce jeta contre lui pour un énorme MON DADAAAAAAAAAAA!!!!!Daryl- Argllll Bet' j'étouffe!Bettyjuice- Pardon...Elle le Mais.... ta grandit!!Daryl- Et toi ta pas changer d'un Et oui moi je resterai éternellement belle! C'est ça d'être une femme fatal que morte gonfla sa poitrine qu'elle n'avait quasiment pas imitant un mouvement de mèche à la l'Oréal. Le chasseur ricana... non Betty n'avait pas changer! Elle tourna autour de Mais dis donc t'es devenu pas mal non plus. La dernière fois que je t'ai vu tu commençais à avoir de l'acné, je vois que ça c'est arranger... Wouah! Si j'avais su à l'époque je serai presque devenu pédophile!Daryl- Ouais mais je suis pas Ta appris des mots nouveaux c'est fantômette ricana en lui pinçant le Pourquoi tu m'as rappeler seulement maintenant?Daryl- J'avais quelques emmerdes... j'me suis dis que ça serait pas plus con de t'appeler vu que...Bettyjuice- Vu que quoi?Daryl- J'croyais... merde tu sais bien, ce que Merle disait...Bettyjuice- Merle... Merle... Toujours Merle!!! L'écouter ta jamais mener loin!!Daryl- Recommence pas avec mon frère!!Bettyjuice- C'est lui qui ta dit que j'exister pas!! C'est lui qui nous empêcher d'être tranquille!!! C'est lui qui ta embarquer dans de sales histoires!!!! C'est lui qui te laisser tout seul alors que moi j'étais là !!!Daryl- Lui c'est mon frère!!! S'ma seul vrai famille!!! J'pouvais que l'écouter bordel tu l'sais bien!!! Il à toujours fais que m'aider!!!!Un rôdeurs ce releva en grognant à causes des cris, la tête exploser que de et Bettyjuice- TOI TA GUEULE!Sans comprendre le pauvre zombie ce ramassa une flèche alors que le reste de sa cervelle deux anciens amis ce Beau Toi alla rechercher ses deux flèches, Betty flottant de quelques centimètres au dessus du sol, les bras croiser le suivait du T'es..... au courant de ce qui ce passe ici?Bettyjuice- Tu veux rire si je suis au courant?! C'est à ce demander ce que vous foutez chez les vivants! On est en surpopulation chez les morts!! Le bon coté des choses c'est que Junon est débordée, elle prête moins attentions aux conneries de mon frère et moi.
Illui montra des habits, qu'il tendit à Sophie. - Va te changer, je te rejoins après. Sophie partit mettre un jean bleu clair et un pull noir. Elle retrouva le Magnat Leto en habits humains. - Ça fait bizarre de vous voir comme ça. - Peut-être. Mais ne discutons pas,
de Marie-Hélène Delval, Marie Flusin chez Bayard Jeunesse Collections Les belles histoires Paru le 08/01/2020 Broché 32 pages A partir de 4 ans € Disponible - sous 3 à 6 jours ouvrés Marie Flusin Quatrième de couvertureLili-Lapin a un gros souci son petit frère Doudou-Lapin a beau grandir, on dirait qu'il reste un quand les autres enfants se moquent de lui, ça la met en colère. Comment l'aider à faire des progrès, ce petit frère qui pousse de travers et qui aime tant les câlins ?
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un petit frère pas comme les autres chapitre 1
Cest l'histoire d'une fratrie pas comme les autres Florent est né trois ans après Samuel, mais ils pourraient être jumeaux. Ils sont aujourd'hui trentenaires et souvent on les prend l'un pour l'autre ! Pourtant un mot les sépare : l'autisme. Rude épreuve pour la famille, qui a dû faire face aux interrogations du corps médical - le
Mission de l’association 1 L’Association des enfants du don adedd a pour objet de répondre aux divers besoins des personnes issues des différentes techniques de l’assistance médicale à la procréation amp, des personnes souhaitant s’engager ou s’étant engagées dans un parcours d’amp, mené à terme ou non, et des futurs ou présents donneurs et donneuses de gamètes ou d’embryons. Les réponses à ces besoins consistent notamment en un accompagnement personnalisé – avec ou sans l’aide de professionnels du milieu médical et/ou paramédical du secteur public ou privé – et l’organisation de groupes de parole. Par ailleurs, l’association est un lieu de réflexions et exerce une mission d’information auprès du public et des pouvoirs publics concernant les aspects humains, sociaux et scientifiques de l’amp, sans aucune forme de militantisme. Mon expérience personnelle2 En créant l’adedd en 2008 [1], je souhaitais réunir des personnes conçues, comme moi, grâce à un don de gamètes [2]. Le moment était sans doute venu de parler à nouveau de mon mode de conception singulier, mais pas avec mes parents. Je voulais voir et toucher un autre comme moi », qui ne soit pas mon frère, conçu lui aussi grâce à un don de sperme mais d’un donneur différent. 3 Informés tous les deux, dès notre plus jeune âge, de notre mode de conception, nous avons l’un et l’autre l’impression d’avoir toujours vécu avec cette vérité », comme l’appellent [3] certains enfants du don. Lorsque j’ai créé l’association, mon frère n’a pas semblé intéressé et je ne suis pas certain qu’il ait compris le sens de ma démarche. En une phrase, il avait réduit l’histoire de notre mode de conception à peau de chagrin Papa, c’est notre père. » Nul doute sur le fait que lui et moi n’avions qu’un seul et unique père. Pourtant, ma naissance », comme je l’appelais parfois plus petit, ne me laissait pas complètement tranquille. J’avais l’impression que mon frère ne comprenait pas vraiment ce qui s’était passé. Savait-il que nous n’étions pas tout à fait des enfants naturels » ? Que nous étions, comme le disaient nos parents, des enfants uniques », désirés », attendus »… ? Pourquoi semblait-il aussi en paix face à cela ? C’en était presque irritant… Ou alors, je pensais trop », comme on me disait souvent. Quoi qu’il en soit, nos vécus sont différents mais aucun de nous deux n’a oublié ce quelque chose » qui nous rend si spécial ». C’est en ces termes que nous en avons discuté, une fois adultes. 4 À l’origine, la création de l’association obéissait à une démarche personnelle, presque égoïste, oserai-je avouer. Cela me semblait être le moyen le plus adapté pour entrer en contact directement avec d’autres personnes conçues comme moi [4]. J’avais besoin de vérifier que les questions que je me posais n’étaient pas uniquement les miennes », et que d’autres avaient ressenti le poids d’une indescriptible solitude. Plus tard, au contact des autres fratries, j’ai compris que de nombreux questionnements n’étaient pas imputables directement à mon mode de conception. Ce dernier avait surtout joué un rôle de catalyseur pour éviter de me confronter à d’autres questions embarrassantes au moment de l’ adolescence. Abîme angoissant pour moi, étendue d’eau calme et transparente pour mon frère, voilà comment m’est apparue la manière dont nous avons vécu l’histoire de notre conception jusqu’à l’âge adulte. 5 Si aujourd’hui les questions entourant ma naissance me paraissent lointaines, et sont pour beaucoup oubliées, c’est grâce à de nombreux échanges avec des frères et des sœurs, dont il m’est impossible de rendre compte en substance ici du contenu. Certaines choses sont ineffables, intraduisibles, inexprimables, et on ne peut les partager qu’avec d’autres nous-mêmes » du fait d’une certaine communion de pensée. Face à un même évènement un deuil, une maladie, un succès, un échec…, chacun réagit de façon singulière, y compris au sein d’une fratrie. Ce fut ma conclusion en ce qui concerne la manière dont j’ai vécu l’histoire de ma conception. Est-ce du fait de ma position d’aîné ? Je ne saurais l’affirmer avec certitude. Est-ce imputable à la personnalité de mon donneur », qui transparaîtrait à travers moi ? Là encore, je ne suis sûr de rien… Les raisons mêmes d’un spectre de ressentis aussi large chez les personnes conçues grâce à un don de gamètes font également débat parmi les spécialistes du sujet [5]. C’est un fait, certains vivent sereinement avec ce mode singulier de conception, et d’autres éprouvent un mal-être profond [6]. Entre ces deux extrêmes, il y a un continuum sur lequel chacun peut évoluer au gré de ses cheminements. 6 En résumé, il m’a fallu plus de temps pour que l’exclamation de mon frère papa, c’est notre père » prenne tout son sens. Cette phrase, si courte soit-elle, ne ferme pas la porte aux questionnements sur le don de gamètes et n’évince pas non plus les représentations fantasmées fantasmatiques ? du donneur ou de la donneuse. Pour comprendre cette assertion, il convient d’aller au-delà du sens littéral des mots. Il s’agit en fait d’une déclaration d’amour qui transcende la technique utilisée pour donner la vie sans pour autant nier son existence. Avec ou sans don, le parent est reconnu en tant que tel, dans son rôle de père ou de mère, par l’enfant qui prononce ces mots papa, je t’aime », maman, je t’aime ». La technique médicale et le don de gamètes s’effacent progressivement pour laisser la place à ce qui est le plus important pour l’enfant, l’amour inconditionnel de ses parents. La technique médicale et le don degamètes s’effacent progressivementpour laisser la place à ce qui estle plus important pour l’enfant,l’amour inconditionnel de ses d’expériences au sein de l’association L’annonce du mode de conception7 Lieu d’échange pour des personnes liées par un commencement commun [7] – l’intervention de la médecine de la reproduction –, l’association accueille de nombreuses fratries, composées de frères ou de sœurs exclusivement, mixtes, ou encore de vrais » ou de faux » jumeaux. Le plus souvent, l’adhésion à l’association est réalisé par l’aîné de la fratrie. Faut-il pour autant en conclure que dans cette situation, comme dans d’autres [8], le plus âgé essuie tous les plâtres » ? Nous ne saurions l’affirmer avec certitude. En revanche, il est parfois le premier à être informé, alors que les autres membres de la fratrie devront attendre le même âge pour connaître la vérité ». Concrètement, nous avons pu observer au sein de l’association que la manière d’annoncer le mode de conception à l’enfant exerçait une influence sur la façon de vivre l’histoire de sa conception. L’annonce peut intervenir à différents âges de l’annonce au berceau » à l’annonce tardive » à l’âge adulte, être faite par un seul des parents annonce unilatérale concertée ou non concertée [9], dans un climat familial compliqué séparation des parents, mort d’un parent [10]… ou encore par un membre de la famille, un ami, ou par un tiers lors d’un examen médical, par exemple rhésus, tests génétiques…. D’après nos observations, il semble que les enfants informés tôt de leur mode de conception avant 10 ans environ [11], par leurs deux parents et dans un climat familial serein, vivent de manière plutôt apaisée avec l’histoire de leur conception. La perception du mode de conception8 Confrontés à un problème de fertilité ou à une maladie grave et transmissible génétiquement, les parents des enfants du don » ont tous eu recours, après de nombreux examens cliniques et biologiques, à diverses techniques d’aide ou d’amp insémination artificielle ia, fécondation in vitro fiv, fivete ou encore icsi [12]. Ces expressions barbares » pour le béotien, les fratries généralement les connaissent. C’est même parfois une manière de se présenter dans les groupes de parole Je m’appelle Jonathan, j’ai été conçu par fiv. » L’aspect très, voire trop médical » de cette nouvelle manière de concevoir, se retrouve également dans la parole des couples en parcours d’amp. Après l’annonce du mode de conception, l’enfant, l’adolescent ou l’adulte associe parfois son identité à son mode de conception ou à une technique d’amp Je suis un enfant, mais un enfant du don », un bébé éprouvette »... Produits de la médecine procréative, frères et sœurs ne se présentent pas toujours systématiquement de la même manière. L’aspect médical ressort, le plus souvent, chez celui ou celle qui se pose le plus de questions [13]. Le recours à la technique est, en lui-même, source d’interrogation pourquoi celle-là ? Était-ce la meilleure ? Le don aurait-il pu être évité ? A-t-elle une influence sur ma santé ? Etc. Plus évocatrice encore, dans le fait que le mode de conception n’est pas toujours vécu de la même manière au sein d’une fratrie, est l’adhésion à l’association par un seul membre de la fratrie 80% des cas. Il s’agit là encore de celui ou de celle qui s’interroge le plus. Il y a à cela plusieurs explications, et l’une des plus fréquentes est que le sujet même du mode de conception est tabou, source de non-dits voire de discorde au sein de la fratrie. Il y a souvent, chez les enfants du don – même une fois adultes – la peur de réveiller un souvenir douloureux pour les parents ou les frères et sœurs Papa a déjà assez souffert comme ça, inutile d’en reparler », Ce n’est pas si important au final », Tu te poses trop de questions inutiles, c’est notre mère et elle nous aime ! » Mode de conception et rivalité fraternelle9 Le sujet du mode de conception survient parfois de manière inattendue, au cours d’une dispute. Je me souviens que, très énervé, mon frère m’avait un jour lancé au visage De toute façon, tu n’es pas mon frère. » Bien que ce fût l’unique fois où je l’entendis prononcer ces mots, cette phrase est restée gravée en moi. Il venait de me rappeler, à un moment où je ne m’y attendais pas, la nature de notre lien. Un même père, une même mère biologique et deux donneurs différents. Le conflit qui nous opposait alors prit fin avec cette petite phrase, qui en disait beaucoup pour moi à cette période d’intenses questionnements. Je ne lui en ai jamais tenu rigueur car, au fond, peut-être avait-il raison ? Étions-nous vraiment des frères ? Qu’est-ce qui fait que deux personnes sont frères ? Leur sang ? L’amour qu’ils se portent ? Les deux ? Autre chose ? 10 Chacun sait combien la colère amène parfois à dire des mots qui dépassent notre pensée. D’ailleurs, la vérité » prononcée par mon frère m’a aussi traversé l’esprit quelquefois à l’égard de mon père. Elle n’a, heureusement, jamais été articulée. C’est souvent une des plus grandes craintes dont les couples discutent dans le cadre des groupes de parole Et si mon enfant me dit un jour “tu n’es pas mon père” [ou “tu n’es pas ma mère”] ? » Par la mise à distance qu’elle provoque, cette phrase permet de rassurer celui qui la prononce je ne suis pas » ou je ne serai pas comme mon frère ou mon père ». Pour autant, il ne semble pas que ce genre de situation soit propre aux personnes concernées par le don de gamètes… Regard extérieur sur la remise en cause des liens familiaux dans le cas d’un recours au don11 Je m’appelle Adèle et je suis entrée dans l’association car Christophe cherchait de l’aide pour la développer. Sensibilisée aux questions bio-éthiques du fait de mon entourage familial, le projet d’association de Christophe me plaisait aussi par sa volonté de rester en dehors du champ du militantisme. Je crois en effet que, en la matière, personne ne détient une réponse qui serait la bonne ». Or, si je comprends le militan-tisme, celui-ci ne me semble pas cadrer avec le projet de groupes de parole, qui doit permettre à chacun d’exprimer librement ses questionnements ou ses inquiétudes, sans craindre d’être jugé par les autres participants. En définitive, cela s’accordait avec les certitudes que j’avais en matière de bioéthique en général, c’est-à -dire aucune. 12 Je n’ai pas été conçue par don et ne connais pas davantage de personnes dans mon entourage proche qui aient eu recours à cette technique. 13 Je suis la deuxième d’une fratrie de trois sœurs, d’âges proches. Alors que je commençais à assister aux groupes de parole, Christophe et moi nous sommes aperçus que ma présence permettait aussi de mettre en avant que l’expression des rivalités fraternelles, passant notamment par tu n’es pas mon frère », tu as été adopté », voire de toute façon les parents t’ont trouvé dans une poubelle », ou que le fameux t’es pas mon père/ma mère », n’étaient pas des affirmations spécifiques aux fratries intéressées directement par la problématique de conception par le don. Je le sais pour avoir moi-même prononcé ou entendu ces phrases dans mon propre cadre familial. De même, les parents sont souvent inquiets de la ressemblance ou de la dissemblance de leur enfant avec eux-mêmes, mais aussi de celle existant entre leurs enfants, en particulier lorsque le donneur est différent. Pour ma part, je plaisante souvent en groupe de parole sur le fait que je ressemble physi-quement si peu à mes sœurs pourtant issues biologiquement des deux mêmes parents que nous devions sortir nos pièces d’identité pour prouver notre lien fraternel aux camarades de classe. 14 Sans chercher à banaliser le ressenti de ces parents et de ces fratries, bien au contraire, il s’agit néanmoins de démêler » ce qui, par exemple, relève d’une expression normale de rivalités au sein de la fratrie et ce qui est attribuable spécifiquement au recours au don de gamètes dans la conception. En définitive, ce qui me paraît spécifique dans le cadre d’un don, qu’il s’agisse de la relation parent/enfant ou de la relation fraternelle, c’est justement le fait qu’il est très difficile de prononcer ces phrases sans convoquer la blessure parentale. Comme si, lorsqu’il y avait don, la réalité du lien pouvait à tout moment être remise en cause du fait de l’absence totale ou partielle du lien biologique. 15 De mon point de vue une phrase du type tu n’es pas ma sœur » s’apparente à une expression tout à fait banale dans le cadre de l’expression de rivalités fraternelles. Je sais que je l’ai prononcée, et qu’elle a été prononcée à mon encontre par chacune de mes sœurs. Mais il me serait impossible de dire exactement quand et dans quel contexte. Je ne peux que constater que, pour Christophe, cet évènement est beaucoup plus marquant et prend, du fait qu’il ait été conçu par don, un sens différent. 16 De même pour la relation parent/enfant, l’expression t’es pas mon père/ma mère » me semble être une affirmation d’adolescent cherchant à s’affirmer vis-à -vis de ses parents, tout ce qu’il y a de plus classique. Pourtant, dans les groupes de parole, alors même que l’enfant n’est pas encore paru, le parent qui n’aura pas de lien biologique exprime souvent une angoisse à l’idée que son enfant devenu grand prononce un jour cette phrase. 17 Finalement, ces mots qui peuvent être prononcés dans n’importe quelle famille sont susceptibles d’être vécus sur un mode différent lorsqu’il y a eu recours à un don de gamète ou d’embryon. Or, il me semble tout à fait normal dans le développement d’un enfant qu’il puisse remettre en cause, sur ce mode symbolique, le lien parental ou le lien fraternel, qu’il puisse exprimer une rivalité fraternelle, ou s’affirmer face à ses parents. Ce qui change donc est que cette particularité dans le conception risque d’amener l’enfant à ne pas se sentir autorisé à l’exprimer. Christophe dit qu’ heureusement », il n’a jamais formulé à l’égard de son père tu n’es pas mon père ». Pourtant, pas plus que si le lien biologique avait effectivement existé avec son père, une telle affirmation n’aurait permis de remettre en cause le lien de filiation. En revanche, son père aurait pu effectivement vivre une telle affirmation sur un mode beaucoup plus douloureux. 18 En ce sens, le travail d’accompagnement des parents qui ont recours aux techniques d’amp, en particulier lorsqu’elles impliquent un don et donc une part biologique extérieure, me semble extrêmement important. Cela leur permettra ainsi d’accepter que puissent être exprimées ces sentiments qui ont une fonction, permettent l’affirmation de soi, sans qu’ils aient le sentiment que ce lien est effectivement en danger, qu’il s’agisse du lien parental ou du lien fraternel. 19 Développer chez les parents l’idée que l’absence de lien biologique ne conduit pas à la remise en cause du lien familial, relationnel, leur permet ainsi non seulement de ne pas ressentir en permanence la fragilité du lien qui les unit à leur propre enfant mais encore de rassurer l’enfant sur l’indestructibilité de ce lien. Pour les enfants du don, et d’ailleurs qu’ils le veuillent ou non, leurs parents sont leurs parents ». Notes [1] Sur l’association, son fonctionnement et des témoignages de membres, cf. P. Jouannet sous la direction de, Procréation, médecine et don, Paris, éd. Springer, 2015, ou [2] Don de spermatozoïdes et d’ovocytes. Statistiquement, du fait de l’évolution des techniques d’amp, les enfants conçus par don de spermatozoïdes sont plus âgés que ceux conçus par don d’ovocytes. L’association réunit également des couples ayant eu recours à l’accueil d’embryon. [3] Des personnes conçues par don et informées tardivement de leur mode de conception témoignent parfois de leur incompréhension au sujet d’une vérité » cachée par leurs parents, et ayant fait naître depuis le sentiment d’avoir été trahis ». [4] Je savais qu’il existait une autre association, Procréation médicalement anonyme, regroupant des personnes conçues par don mais également des personnes nées sous X ou adoptées, et qui militaient pour un accès aux origines pour tous ». Ne voyant pas en quoi cette démarche militante me serait utile, j’ai préféré créer une association non militante pour accompagner les personnes dans ma situation dans leurs questionnements. [5] Clément, Mon père, c’est mon père, Paris, éd. L’Harmattan, 2006 ; D. Mehl, Enfants du don, Paris, Robert Laffont, 2008 [6] A. Kermalvezen, Né de spermatozoïde inconnu, Paris, Presses de la renaissance, 2008. [7] Aujourd’hui, l’association accueille aussi des donneurs et futurs donneurs qui s’interrogent sur la portée du don de gamètes ou d’embryon. [8] C’est par exemple le cas de la conduite accompagnée ou de certaines activités extrascolaires musique, sport… imposées à l’aîné par les parents, mais pas aux autres membres de la fratrie. [9] Par ailleurs, nous avons pu observer que c’est généralement le parent fertile qui est à l’origine de la révélation, ce qui peut générer un sentiment de trahison chez le parent infertile. De plus, l’annonce non concertée intervient souvent à un moment où le poids du secret devient trop lourd à garder à l’égard de l’enfant, c’est-à -dire dans un climat qui n’est justement pas serein séparation des parents, par exemple. [10] Dans ces situations, l’annonce a parfois pour effet d’induire chez la personne issue du don un surinvestissement du donneur qui viendra alors, d’un point de vue fantasmatique, prendre le relais ou la place du parent effacé ou disparu. [11] Il ne semble pas utile d’attendre que l’enfant soit en âge de parler pour lui annoncer son mode de conception. L’annonce ne doit pas être unique » annonce au berceau », par exemple mais répétée, afin que l’enfant s’habitue progressivement à son histoire. [12] La fiv icsi est une fécondation in vitro avec micro-injection intracytoplasmique. Dans ce cas, un spermatozoïde est directement placé dans l’ovocyte au moyen d’une pipette d’injection. [13] Des recherches sur les différentes techniques d’amp ayant parfois été effectuées par celui ou celle qui s’interroge.
1Corinthiens 5 10 non pas d'une manière absolue avec les impudiques de ce monde, ou avec les cupides et les ravisseurs, ou avec les idolâtres; autrement, il vous faudrait sortir du monde. 11 Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou idolâtre, ou outrageux, ou ivrogne, ou ravisseur,
Le camp étant juste à l’extérieur des portes de la cité, Zhou Weiqing s’y dirigea tout excité, touchant sa toute nouvelle armure interne et son chapeau de 1 kg fraîchement fabriqué sur mesure. Il semblait avoir totalement oublié les troubles qu’il avait causés hier. Alors qu’il entrait dans le camp, il tomba sur un visage familier. C’était le lieutenant qui lui avait demandé comment étaient les “pectoraux” du commandant. La seule différence était qu’il avait cette fois une expression sérieuse alors qu’il arrêta Zhou Weiqing d’une main. “Tu es Petit gros Zhou non?” Zhou Weiqing lui fit un gentil sourire “Oui! Grand frère lieutenant, c’est bien moi.” Le lieutenant lui répond d’une voix sévère “Quel grand frère? Dans l’armée il n’y a que nos postes et rangs. Je suis Mao Li, lieutenant du 5e régiment, 3e bataillon, 4e compagnie. À partir de maintenant, tu es un membre de ma 4e compagnie, compris ?” Zhou Weiqing lui répondit “Compris.” Même s’il avait dit ça, dans son cœur il était en train de diffamer le lieutenant. Mao li? Un âne? Le lieutenant âne? Mao Li sonne comme Mao Lu qui veut effectivement dire âne Le lieutenant ne savait pas que ce moment de silence avait donné à ce petit vaurien du temps pour lui trouvé un surnom, surnom qui le suivrait tout au long de sa carrière militaire. “Suis moi”, Mao Li se retourna et se dirigea vers la tente principale. Zhou Weiqing le suivit, perplexe, se demandant pourquoi le lieutenant s’occupait personnellement de lui. Après tout, il n’était qu’une nouvelle recrue. Un officier serait normalement suffisant pour s’occuper de lui. Après tout, un lieutenant s’occupait de 100 hommes et pour l’Empire des Arcs Divins qui était une petite armée, ils étaient considérés comme des officiers de rang moyen dans l’armée. De l’autre côté, un commandant de bataillon comme Shangguan Bing’er était déjà considéré comme un général de haut rang. Mao Li l’emmena de plus en plus loin dans le camp, jusqu’à un endroit isolé, avant de finalement entrer dans une petite tente loin des autres. Zhou Weiqing le suivit à l’intérieur. La tente faisait 10m² à l’intérieur et il y avait seulement un petit lit militaire, sans aucune décoration ou équipement. Mao Li se tenait dans la tente et lui dit “Avant la fin de la période de recrutement et jusqu’à ce que nous commencions l’entraînement des recrues, tu resteras ici. Cette fois, notre régiment recrutera 5000 hommes et notre 3e bataillon une centaine, j’estime que ça prendra au moins encore 2 semaines.” Zhou Weiqing lui répondit surpris “Wow, lieutenant, le traitement des soldats est merveilleux, on a notre tente personnelle?” “Heh heh” Mao Li rit, répondant “Bien sûr que non, c’est spécialement pour toi. Petit vaurien, je ne peux pas t’aider et tu dois prendre la responsabilité de tes actions. Bon, repose-toi pour l’instant. La cafétéria de l’armée est dans le quadrant gauche du camp et devrait être assez facile à trouver. Quand ce sera l’heure de nous rendre au camp des recrues quelqu’un viendra t’informer.” Disant cela, il se retourna et s’en alla. Après que Mao Li soit parti, Zhou Weiqing eut un mauvais pressentiment à propos du scénario actuel. Il enleva son arc et son carquois et les déposa par terre avant de sortir de sa tente. Plus tôt, il n’avait pas fait attention à son emplacement. Cette fois, avec un pincement au cœur, il remarqua que la tente la plus proche était à 50m de lui. On pouvait dire qu’il était tout au fond du camp. Se pourrait-il que sa vraie identité ait été découverte? C’était impossible! Il avait été tellement prudent. Soudainement un magnifique mais furieux visage apparut dans l’esprit de Zhou Weiqing et son cœur pleura, se murmurant “Shangguan Bing’er, cette fille est le génie de l’Empire et ne devrait pas être une bimbo à gros seins rancunière, non?” “Petit… Gros… Zhou…!” À ce moment, une voix furieuse qui avait clairement les dents serrées de rage se fit entendre. La voix était enchanteresse comme le gazouillis des oiseaux, mais le ton ne laissait rien présager de bon pour lui. Zhou Weiqing se retourna rapidement, pour voir la commandante habillée d’un uniforme d’entraînement de l’armée avec un long arc violet sur son dos. Zhou Weiqing ne put s’empêcher de la fixer des yeux ébahis. Elle avait ses cheveux en queue de cheval et elle ne portait pas d’armure, ce qui permettait aux vêtements d’accentuer ses courbes. Ajoutant à ça l’arc dans son dos, elle était l’image même d’une belle et vaillante guerrière. Malheureusement, l’expression sur son beau visage était très sombre, comme si elle allait cracher du feu. Elle l’avait clairement entendu prononcer “Bimbo à gros seins”. “Urgh, mais quelle sorte de chance est-ce là ?” Zhou Weiqing soupira dans son cœur, montrant rapidement son sourire honnête qui était sa signature “Commandante! J’étais justement en train de faire l’éloge de votre… euh… votre croissance… développement!” Ayant été pris la main dans le sac, même la langue désinvolte de Zhou Weiqing n’avait pas idée de comment le sortir de là . Shangguan Bing’er était furieuse! Elle avait originalement demandé au lieutenant Mao Li d’assigner Zhou Weiqing à cette tente isolée pour qu’elle puisse prendre sa revanche sur lui. Au début, elle se sentait un peu coupable, se demandant si elle était trop dure avec lui. Après tout, il n’était qu’une nouvelle recrue, et même s’il était excellent pour la mettre en rage, ses précédents méfaits étaient tous accidentels. Mais après avoir écouté ses paroles à l’instant, comment pourrait-elle être dupée par son visage honnête. “Soldat Zhou!” Lui cria-t-elle fortement. Zhou Weiqing se redressa, il n’y avait aucune comparaison entre eux, après tout Shangguan Bing’er n’était pas seulement son officière commandante qui avait un rang beaucoup plus élevé, mais elle était aussi une Maitresse des joyaux célestes. Comme le disait le proverbe, “un homme sage ne se bat pas quand les chances sont contre lui”. Shangguan Bing’er prit dans sa main un fouet pour chevaux qui se trouvait autour de ses hanches et regarda méchamment Zhou Weiqing lui disant “Soldat Zhou, pour avoir insulté un officier supérieur, votre punition est de recevoir 10 coups de fouet. La pénalité sera administrée par moi-même. Petit gros Zhou retourne toi maintenant.” Zhou Weiqing regardait abattu le fouet que tenait Shangguan Bing’er. Il n’avait pas imaginé qu’il se ferait fouetter la première journée dans le camp. Mais maintenant qu’il était sous les ordres du commandant, il ne pouvait que se retourner, contre sa volonté, le cœur lourd. Shangguan Bing’er lui donna un “Hmhp”, et d’un pas rapide se retrouva derrière lui alors qu’un *PAH* sonna alors que le fouet s’abattait sur son dos. “AHHHHHHHHHH!” Zhou Weiqing poussa un cri perçant comme s’il se faisait castrer. Tout son corps tomba face première contre le sol, se roulant d’agonie. Shangguan Bing’er regarda le fouet dans ses mains, perplexe, hésitant et se demandant “C’est si douloureux? Je n’ai même pas utilisé d’énergie dans ce coup! Ce petit gros Zhou à l’air tellement fort, qui aurait cru qu’il serait si fragile?” Les talents d’acteur de Zhou Weiqing étaient si réalistes que son corps se courba de douleur alors qu’il se roulait par terre comme s’il allait mourir. Si on parlait de se faire battre, qui pourrait bien avoir plus d’expérience que lui? Depuis qu’il était jeune, il s’était fait punir un nombre incalculable de fois par son père et avait de l’expérience pour simuler toute sorte de situation alors qu’il se faisait battre. Quand Shangguan Bing’er l’avait fouetté, il avait déjà propulsé son corps en avant avec un timing parfait pour réduire l’impact sur son dos. En y ajoutant ses talents d’acteur et le scénario qui consistait à utiliser la douleur, il gagnait de la sympathie. Il avait énormément d’expérience pour utiliser cette tactique et était très habile à l’utiliser au point que s’en était une seconde nature. En vérité, ce vaurien exultait dans son cœur. Après tout, il portait une armure de titane en dessous de ses vêtements, ajoutant à ça le fait que Shangguan Bing’er n’avait pas utilisé d’énergie céleste, il n’avait presque rien senti. En tant que tel, son acte de douleur provenait uniquement de son subconscient et puisqu’il avait déjà commencé à en profiter. Le voyant avoir aussi mal, Shangguan Bing’er ne put se pousser à le frapper une seconde fois. Après s’être roulé pendant un temps, Zhou Weiqing se calma enfin, mais il se tenait toujours par terre frémissant comme s’il ne pouvait pas se relever.
Unpetit frère pas comme les autres / Une histoire écrite par Marie-Hélène Delval; illustrée par Susan Varley: Édition : Dixième édition: Publié : [Paris] : Bayard poche, DL 2003: Description matérielle : 1 vol. (29 p.) Collection : Les Belles histoires ; 50 : Titre de l'ensemble : Les belles histoires vol. 50: Sujets :
Jene vois vraiment pas où il a pu aller chercher ça, je lui ai expliqué qu'il sera toujours mon petit frère, même s'il porte ces horribles uniformes verts. Je lui ai quand même dit que je lui ferais la misère s'ils nous battaient au Quidditch, mais ça l'a fait rire, je pense qu'il ne comprend rien aux priorités.
Chapitre12. La situation est plutôt tendue entre Charlotte et mon frère. Il faut dire qu’elle n’y est pas allée de main morte en lui disant ses quatre vérités devant nos parents. Dire devant ma mère qu’il la traite de béluga, c’est-à -dire, de baleine, l’a mis plus que mal à l’aise. Voilà mon Armand descendu de son
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un petit frère pas comme les autres chapitre 1